2020/12/17

Radio Courtoisie : « Trump doit-il passer à l’action ? »

 
Le 16 décembre 2020, Evelyne Joslain reçoit :
  • Erik Svane, membre du groupe des Républicains à Paris

Thème : « Trump doit-il passer à l’action ? »

Cliquez sur le lien pour entendre l'émission d'une heure et demie… 

Patron d'émission du Libre journal du Nouveau Monde à Radio Courtoisie, Evelyne Joslain est l'auteur d'une poignée de livres sur les États-Unis.


2020/12/07

Erik Svane interviewé sur Radio Télévision Suisse

 


Le jour après les élections américaines de 2020, Erik Svane était interviewé par Radio Télévision Suisse francophone.

Le discours de Donald Trump [RTS]
Le 12h30, 04.11.2020, 12h32

Le républicain Erik Svane livre son analyse des élections présidentielles américaines

Interview d'Erik Svane, chargé de relations médias pour les Republican Overseas France.

2020/12/05

Que l’on soit anti- ou pro-Trump, si l’on respecte et applique les principes démocratiques, il semble probable que Trump l’emporte, et ce largement

Bravo à France Soir, pour avoir publié cet article de Elisabeth Dancet :

« Ceux qui votent ne décident de rien, ceux qui comptent les votes décident de tout. »

Cette citation attribuée à Joseph Staline a-t-elle traversé l’Atlantique en novembre 2020 ?

Au milieu du silence assourdissant des médias mainstream aux États-Unis comme en Europe, les actions publiques, civiles et judicaires se multiplient dans les états-clés pour faire la lumière sur les résultats des élections américaines.

Mercredi 25 novembre, la superlawyer (avocate d'exception) Sidney Powell représentant un collectif de Républicains a déposé une poursuite judiciaire devant le tribunal fédéral de Géorgie contre le gouverneur Brian Kemp et le secrétaire d’état Brad Raffensperger, responsable des élections. Cette plainte de 104 pages dénonce les fraudes massives advenues durant les élections générales de 2020 organisées dans l’état et contient des preuves certaines et tangibles, notamment de 96 600 votes par correspondance qui ont été comptabilisés mais n’ont pas été enregistrés comme ayant effectivement été reçus par les bureaux de vote. L’avocate demande l’annulation de ces bulletins. La fraude la plus inquiétante dénoncée également dans la plainte concerne la manipulation des résultats par les logiciels des machines de vote Dominion, programmés pour assurer l’élection du candidat démocrate et opérés par des acteurs domestiques et étrangers.

Le même jour, l’avocate a déposé une action en justice similaire auprès du tribunal fédéral du Michigan, contre la gouverneure Gretchen Whitmer et la secrétaire d’état Jocelyn Benson, alléguant aussi de fraudes massives de deux types, les fraudes dites « traditionnelles » et la manipulation des logiciels électoraux pour favoriser systématiquement Joe Biden.

En conséquence, Twitter a suspendu le compte de Sidney Powell pendant 12 heures et bloqué l’accès à son site permettant des dons en ligne pour financer les actions en justice en cours. Alors que Jack Dorsey, CEO de Twitter, a affirmé lors de sa récente audition au Sénat, ne pas influencer les élections américaines par des actes de censure…

Le même jour encore, Rudy Giuliani, avocat de l’équipe électorale de Donald Trump a organisé une audition publique avec les représentants de l’état de Pennsylvanie sur le déroulement des élections. Durant ces auditions, plusieurs observateurs ont témoigné avoir été mis dans l’impossibilité d’observer correctement le dépouillement des bulletins de vote. Un spécialiste du renseignement et de cyber sécurité, le colonel Phil Waldron, a confirmé la capacité de manipuler les logiciels des machines à voter utilisées durant ces élections, comme cela a été fait au Venezuela et en Argentine. Il a expliqué que les anomalies de pointes du nombre de votes enregistrées pour Joe Biden dans un temps très court ne sont pas possibles dans des circonstances normales. Ces pics informatiques réapparaissent à plusieurs reprises dans les décomptes des voix de Pennsylvanie et comptabilisent plus de 570 000 votes pour Biden, et moins de 3200 pour Trump.

Si les résultats s’inversent uniquement dans ces trois états du fait de ces fraudes, Donald Trump dépasse largement les 270 votes de grands électeurs nécessaires pour gagner l'élection présidentielle.

Mais les fraudes ne s’arrêtent pas là !

Ancien directeur de la stratégie de la campagne de Trump en 2016, Matt Braynard a immédiatement douté des résultats de l’élection présidentielle de 2020. Quelques jours après l’élection, ce spécialiste des data rassemble une équipe pour analyser les votes suspicieux dans 6 états-clés. L’équipe analyse et croise les données concernant 1,25 millions de votants. Elle les contacte par téléphone, message ou mail et fait alors une découverte majeure : les votants ayant signalé leur changement d’adresse à la Poste suite à leur déménagement dans un autre état ont quand même voté dans leur état précédent. Les chiffres sont astronomiques : 138 221 votants en Géorgie, 51 302 au Michigan, 26 673 dans le Wisconsin, 27 271 dans le Nevada, 19 997 en Arizona, 13 671 en Pennsylvanie ! La quantité de bulletins contestables dépasse le différentiel entre les deux candidats dans au moins 3 états, affirme Braynard, membre du Voter Integrity Project, de quoi retourner facilement - une fois de plus - le résultat de l‘élection présidentielle.

Pour s’assurer de la tournure des élections, les Big Tech - principalement Google - ont influencé les électeurs en manipulant les contenus répondant à leurs recherches en ligne.

Depuis 2016, le Dr. Robert Epstein, chercheur en comportement humain à l’AIBRT, conduit une large étude sur le rôle des Big Tech dans les élections. Ce projet rassemble 733 citoyens de différents états-clés enregistrés sur les listes électorales, un panel comprenant démocrates, républicains et indépendants. L’équipe de recherche d’Epstein a observé et analysé pendant des semaines les comportements en ligne de ces citoyens, avant l’élection et jusqu’au jour de l’élection. L’observation des messages et contenus reçus par ces citoyens démontre les biais flagrants introduits par Google : les citoyens démocrates ont eu droit à une page d’accueil spécifique les incitant à aller voter, alors que les républicains n’ont pas reçu cette invitation. Là encore les Big Tech, devenues machines de propagande, font tourner leurs algorithmes et leur big data pour forcer les votes dans le sens qui leur convient. D’après les calculs de Robert Epstein, Google a ainsi contribué à influencer au minimum 6 millions de votants vers le candidat libéral.

Cette censure est mise en œuvre non seulement par Google mais aussi par Facebook et Twitter. Les auditions en cours auprès du Sénat américain qui se sont poursuivies ces dernières semaines visent à le démontrer. Le sénateur Ted Cruz est persuadé que Google, l’entreprise la plus puissante des USA, influence les élections en manipulant les résultats de recherche, et en censurant systématiquement les conservateurs et les actions du Président Trump. Il accuse Jack Dorsey, patron de Twitter, plateforme de distribution d’informations, d’avoir censuré les articles du New York Post, un des plus anciens journaux américains, qui relataient les affaires fort lucratives menées par Hunter Biden au nom de son père en Ukraine, en Russie et en Chine. Cette découverte aurait dû être relayée par les médias avec des conséquences désastreuses pour le candidat Biden, soupçonné de corruption. Cela n’a pas été le cas : Google et les plateformes Twitter et Facebook ont censuré toute publication sur ce sujet sensible. Cette censure constitue une violation de la loi fédérale et du Premier amendement de la Constitution qui protège la liberté d’expression.

Les instituts de sondage eux-mêmes ont été manipulés, prédisant une « vague bleue ». En fait c’est plutôt d’une vague rouge que témoigne cette élection. Il est d’autant plus remarquable que malgré cette censure systématique des médias comme des plateformes en ligne, les recours et dépôts de plainte pour fraudes massives conduisent de plus en plus à mettre en lumière la victoire du candidat républicain. Que l’on soit anti ou pro-Trump, si l’on respecte et applique les principes démocratiques, il semble probable que le candidat Trump l’emporte, et l’emporte largement.

Olivia Jane Winters, enregistrée au parti démocrate, a témoigné de l’observation de comportements abusifs dans son bureau de Pennsylvanie, y compris la non-vérification des signatures des votants pour empêcher les doubles votes.

 Comme elle l’a affirmé lors des auditions publiques du 25 Novembre :  

« Peu importe qui gagne, ce qui importe c’est que ces élections soient justes ».

2020/11/26

Anne-Sophie Hongre sur Radio Courtoisie : Trump peut-il encore gagner ?


Dans le Libre journal de la liberté de penser du 25 novembre 2020 sur Radio CourtoisieAnne-Sophie Hongre-Boyeldieu, assistée d’Anne-Laure Maleyre, reçoit :
  • Evelyne Joslain, essayiste
  • Erik Svane, membre du groupe des Républicains à Paris
  • Jean-Paul Garraud, député européen, ancien magistrat

Thèmes : « Trump peut-il encore gagner ? ;
La loi sur la sécurité globale :
vers plus de pouvoir pour
les forces de l’ordre ou pas ? »

Cliquez sur le lien pour entendre l'émission d'une heure et demie (60 minutes sur les USA, 30 minutes sur la France)… 



2020/11/23

Evelyne Joslain sur Radio Courtoisie — Réflexions sur la Tentative de Coup d'État aux Etats-Unis


Le 18 novembre 2020, Evelyne Joslain reçoit :
  • Erik Svane, membre du groupe des Républicains à Paris
  • Guy Millière, politologue, écrivain
  • Georges Clément, président du comité Trump France
  • Daniel Clément, médecin

Thème : « Réflexions sur les enquêtes électorales en cours aux Etats-Unis »

Cliquez sur le lien pour entendre l'émission d'une heure et demie… 

Patron d'émission du Libre journal du Nouveau Monde à Radio Courtoisie, Evelyne Joslain est l'auteur d'une poignée de livres sur les États-Unis.


2020/11/03

Ils sont américains, pro-Trump, et vivent en France…

 


La chaîne France 24 a fait un reportage sur des Américains pro-Trump qui vivent dans la Région Parisienne…

Ils vivent depuis des années en France où le président américain Donald Trump est très impopulaire et où leurs opinions conservatrices sont loin d’être majoritaires. Refus de l’État providence, contrôle de l’immigration, tensions avec l’Europe… À quelques jours de l’élection présidentielle qui opposera Donald Trump à Joe Biden, les Américains pro-républicains résidant à Paris expliquent pourquoi l’actuel locataire de la Maison Blanche a leurs faveurs.

2020/10/19

Après l'hospitalisation de Donald Trump : Voici les 7 points essentiels sur le Coronavirus

Alors que Donald Trump et son épouse ont rejoint les rangs des infectés du Covid-19, une étude approfondie dudit Coronavirus — et des diverses réactions des gouvernements du monde entier — ne peut aboutir qu'aux sept points majeurs suivants, que je considère comme concluants et définitifs.

1) La question primordiale en ce qui concerne le Covid-19, c'est :
A) si nous faisons face à l'une des redoutables pandémies historiques, telles que la Mort Noire du Moyen Âge, la grippe espagnole de 1918, ou la peste qui ravagea Athènes en 430 av. J-Chr. ; ou
B) si nous avons affaire à l'une des épidémies régulières, telles celles de 2009, de 2002, de 1968, de 1957, et de 1889 — qui, étant plus communes, serait l'explication la plus logique (et qui semblent par ailleurs provenir pour la plupart, sinon toutes, de la Chine) — où aucune intervention gouvernementale n'a été prise et qui se sont terminées dû au fait que les populations diverses ont acquis l'immunité, ce qui est précisément grâce au fait que… aucune intervention gouvernementale n'a été prise (dans ce cas, s'abstenir d'intervenir équivaut presque à une vaccination, ce qui suggère par ailleurs que porter des masques n'est rien sinon contre-productif).

C'est ici qu'intervient une partie de la population, surtout les politiciens, les bureaucrates et les autres élites, qui affirment le besoin d'agir, la nécessité de se restreindre, l'obligation de porter des masques.

2) Le seul et unique problème avec cette attitude, c'est qu'il n'y a rien qui porte à penser que le virus de Wuhan est pire que, voire autre que, l'une des épidémies normales. Mis à part le fait qu'il s'avère que les statistiques que nous recevions au début de l'année ("457 espagnols morts au cours des dernières 24 heures", "le seuil de mortalité en Italie a maintenant atteint 34.000 âmes", etc) s'appliquaient surtout aux personnes âgés, faibles et malades dans les maisons de retraite (voir le point 4), ces bulletins dramatiques ont complètement disparu — non pas depuis les quatre ou cinq derniers jours, non pas depuis les quatre ou cinq dernières semaines, mais depuis les quatre ou cinq derniers mois…

3) Dans cette perspective, vous souvenez-vous de l'histoire de Sherlock Holmes conernant le chien qui n'a pas aboyé au cours de la nuit ? Les Fake News, ce n'est d'habitude pas les mensonges outrancières, ce sont les férus de mélodrame professionnels dans les médias qui s'abstiennent de faire des reportages sur certains types de nouvelles (ou qui les minimisent le plus possible) — notamment les infos qui sont… positives. 

Cher lecteur, réfléchis : Durant ces derniers neuf mois, y a-t'il eu un seul pays, une seule ville, où l'on a pu voir des morts dans les rues, et s'horrifier devant des douzaines, des centaines, de corps qui pourrissaient ? A-t'on vu un seul train, une seule rame de métro où il était fréquent de voir un malade du virus râler comme un démon, tituber, et finir par s'écrouler avant d'entrer en convulsions et de vomir ses entrailles (noires) ? Non, n'est-ce pas ?

4) En d'autres mots, la majorité des infectés étaient, et sont, déjà dans les hospices, et si d'aucuns commencent à se sentir mal, ceux-là peuvent choisir d'eux-mêmes de s'isoler (d'entrer en auto-quarantaine, si on veut) ou, si nécessaire, se diriger vers un hôpital (voir le point 6). Accessoirement, ceci est basé sur un concept révolutionnaire : que l'adulte moyen est de fait un être responsable sans grand besoin pour des bureaucrates, des politiciens et/ou un monarque, et sur lequel on peut (si, si) compter pour se comporter avec un minimum de maturité.

5) Maintenant, le monde fait face à une séconde vague du virus chinois (nous allons y revenir), mais les seuls bulletins d'infos que nous recevons, c'est de l'ordre de "1000 nouvelles hospitalisations en France depuis une semaine" ou "558 danois de plus ont attrapé le coronavirus ; deux nouveaux décès." Et pourtant, ces informations continuent à nous faire peur (ou, du moins, nos politiciens) autant qu'avec les bulletins dramatiques de morts au tout début de la pandémie (!) ; et elles continuent de créer autant d'hystérie de masse.

Le mot quarantaine signifie une période d'internement de 40 jours (et pas un jour de plus). Neuf mois après le début de la pandémie, il convient de savoir que jamais dans la langue française n'ont existé des mots ou des expressions tels que centquarantaine (140 jours), ou deuxcentsoixantaine (260 jours)… Et, de toutes les façons, le confinement s'adresse traditionellement aux seuls gens infectés, non pas aux gens en bonne santé…

6) Aujourd'hui, en effet (et cela, rappelez-vous, depuis quatre à cinq mois), pour la vaste majorité des infectés, souffrir du virus ne signifie rien de plus que deux ou trois semaines maximum en quarantaine chez soi (de fait, trois semaines d'internement équivaut à la moitié des 40 jours préscrits, donc on peut conclure que, dans leur sagesse, nos ancêtres ont péché par excès de prudence), comme l'ont fait des gens aussi variés que Tom Hanks, Madonna, Silvio Berlusconi, le Prince Charles, Albert de Monaco, et Greta Thunberg (en ce qui concerne Boris Johnson, une visite à l'hôpital), après quoi les gens retrouvent leur bonne santé. Cela suggère, encore une fois, que le citoyen moyen (en tout cas, que l'Occidental moyen) est quelqu'un qui se comporte de façon responsable et qui fait exactement ce qu'il ferait s'il était infecté durant l'une des précédentes épidémies régulières, s'il souffrait d'une grippe ordinaire, ou s'il attrapait une maladie qu'elle quelle soit — y compris un rhume des plus banaux.

De fait, si le taux de survie du virus est aujourd'hui près de 100%, on est en droit de se demander : à quoi bon tout ce remue-ménage pour chercher un vaccin ?

7) En d'autres termes, il est on ne peut plus clair que A) le virus chinois n'est pas, et n'a jamais été, différent de manière significative de l'une des autres épidémies et que B) nous sommes au milieu soit d'une arnaque globale (nous allons y revenir) soit d'une manifestation de hystérie collective, soit d'une combinaison des deux.

Dans cette perspective, invitons les politiciens et les bureaucrates de tous les pays occidentaux de cesser immédiatement d'exiger de leurs citoyens respectifs de s'habiller comme des clowns ; et, surtout, invitons ces politiciens et ces bureaucrates à mettre un terme immédiat à la déstruction de leurs économies réspectives.

Pour conclure : Offrez aux personnes âgées et à celles dont le système immunitaire est affaibli, la possibilité d'une mise en quarantaine (chez soi ou dans un centre hospitalier) et, en ce qui concerne le reste de la population, brisez leurs chaînes !


Une note finale sur la nouvelle vague de Covid-19 — qui s'est produite, par le plus étrange des hasards et par la plus bizarre des coïncidences, suite à la décision en mai des démocrates américains et du reste des prétendus "experts de la santé" du monde entier, de faire brusquement un virage à 180° en ce qui concerne les masques, la distanciation sociale et le confinement (le tout, rappelez-vous, pour la sécurité des citoyens), et suite à leur décision que les foules gigantesques s'engageant dans des manifestations de masse — en plus des émeutes, des incendies criminelles, des pillages et des renversements de statues — étaient soudainement permises, voire encouragées, si seulement ils s'intégraient dans la lutte héroïque contre le racisme, réel ou présumé. (Oui, vous avez raison, ce sont ces mêmes politiciens qui avaient adopté des règles pour arrêter un pagayeur solitaire au large de la côte de Malibu ou qui avaient ordonné aux hélicoptères de la gendarmerie de survoler les Vosges afin d'infliger des amendes aux randonneurs isolés…) 

Il y a une théorie selon laquelle la réponse hystérique au virus de Wuhan (ainsi que "les manifestations à 180°") n'est en réalité autre chose qu'un plan clandestin plus ou moins réfléchi et élaboré des démocrates américains en compagnie du reste des politiciens du monde — dont peu, voire aucun, font eux-mêmes des sacrifices (y a-t'il un seul qui ne continue pas à percevoir son salaire?) — pour affaiblir les économies des États-Unis et de tout l'Occident afin de vaincre Donald Trump en novembre.

Peu importe, cher lecteur, ce que vous ressentez, à juste titre ou non, à propos de Donald Trump ; je vous pose la question suivante : le chef d'un seul pays, fût-il une superpuissance ou non, est-il un tel danger pour l'Amérique et pour le reste du monde que les gens ordinaires à travers la planète, nos concitoyens, nos voisins et nos familles doivent accepter les récessions, les faillites et les nombreux autres types de sacrifice — en plus des émeutes et des pillages — afin de faire tomber ledit chef ? 

Dans ce cas, j'ai ce que je crois être une suggestion vraiment extraordinaire à faire (et je pense que cela s'applique si vous êtes citoyen américain, citoyen français ou citoyen de tout autre pays): 

En tant que citoyen à qui l'on n'a jamais demandé (avant une élection ou à tout autre moment) si j'acceptais les politiques furtives de nos politiciens (aux États-Unis, ils ne sont pas appelés "nos dirigeants" mais "nos serviteurs") détruisant, directement ou indirectement, l'économie, nos entreprises et nos statues — et s'engageant dans la création d'un appauvrissement de masse au sein de notre peuple, de nos voisins et de nos familles — je dirais que les élites en Amérique (cf. les dirigeants du parti démocrate), en France et ailleurs en Europe pourraient ne pas être tout aussi horribles que le serait prétendument Donald Trump, ils pourraient en fait être bien pires.  

2020/06/05

Radio Courtoisie Spécial Jour J

Le 5 juin 2019, le patron d'émission du Libre journal du Nouveau Monde recevait trois invités à Radio Courtoisie pour aborder le 75ème anniversaire du Jour J. Le blog Instapundit de Glenn Reynolds a notamment été évoqué (35:06 ou -53:27), en relation avec son "meme" Punch Back Twice as Hard

Cliquez sur le lien pour entendre l'émission de 80 minutes…
Evelyne Joslain, assistée de Nathalie, reçoit :
  • Paul Reen, président des Républicains en France
  • Antoinette Lorrain, vice-présidente des Républicains en France
  • Erik Svane, chargé des médias pour les Républicains en France
Thème : “Hommage à tous ceux qui ont participé au Débarquement, à l’occasion de son soixante-quinzième anniversaire”
Immédiatement après leur participation à l'émission, les trois invités s'embarquaient en trois voitures pour la Normandie avec trois ou quatre autres amis afin de participer au 75ème anniversaire du Jour J le lendemain.
Rappelons que Evelyne Joslain est l'auteur d'une poignée de livres sur les États-Unis.

2020/05/11

Radio Courtoisie “commentaire de l'actualité américaine”




Le 15 janvier 2020, le patron d'émission du Libre journal du Nouveau Monde recevait trois invités à Radio Courtoisie pour aborder un “commentaire de l'actualité américaine”.

Cliquez sur le lien pour entendre l'émission d'une heure et demie…
Evelyne Joslain, assistée de Stanislas, reçoit : 
  • Paul Reen, membre du groupe des Républicains américains à Paris 
  • Anntoinette Lorrain, membre du groupe des Républicains américains à Paris
  • Erik Svane, membre du groupe des Républicains américains à Paris
Thème : “commentaire de l’actualité aux Etats-Unis”
Evelyne Joslain est l'auteur d'une poignée de livres sur les États-Unis.