2014/07/30

Rendre la vie misérable pour les conducteurs, c'est le résultat escompté de la politique des fonctionnaires


Le trafic s'aggrave pendant les heures de banlieue? Les nids de poule de l'hiver dernier ne sont toujours pas remplis? Vous ne comprendez pas pourquoi les pistes cyclables sont soudainement devenues si importantes?
Tels sont les questions des citoyens ordinaires recensées par Mark Tapscott dans le Washington Examiner.
Plus de 90% des Américains dépendent de leurs voitures et camions personnels pour se rendre au travail tous les jours. Mais de nombreux responsables gouvernementaux à tous les niveaux semblent déterminés à rendre la vie misérable pour les conducteurs.

Ils ne le diront pas dans ces mots exacts, mais c'est ce que beaucoup de fonctionnaires, y compris en particulier les bureaucrates responsables du zonage, des transports, et de l'agence de développement économique, entendent être le résultat de leurs politiques.

Allez là où nous vous le disons et quand nous vous le disons

Pourquoi? Pour que les employés laissent leur voiture à la maison et prennent les transports en commun. Cela justifie de plus gros budgets pour les bureaucrates et plus de personnel.

Voilà le vilain secret au cœur de la politique de transport … C'est pourquoi 1 dollar des impôts de l'autoroute aux USA sur 4 est effectivement dépensé, selon la Fondation du patrimoine, sur "les métros, les tramways, les bus, les pistes cyclables, les chemins de nature, et l'aménagement paysager."

Les bureaucrates adorent les transports en commun parce que les transport en commun vont là où ils veulent qu'ils aillent et quand ils veulent qu'ils y aillent. Les bureaucrates détestent les voitures et les camions privés parce que les conducteurs, plutôt que les bureaucrates, décident où aller. Ça s'appelle le contrôle du gouvernement contre la liberté individuelle.

Et si on dépensait les fonds de la route sur… les routes? 

Le Highway Trust Fund devrait faire face à un déficit $58.000.000.000 au cours des quatre prochaines années, selon le Congressional Research Service. L'augmentation de la taxe fédérale sur l'essence, et peut-être même une imposante taxe de banlieue par mile, sont les «solutions» favorisées entre démocrates libéraux et les défenseurs dans la bureaucratie de «croissance intelligente».

La meilleure solution du point de vue de la 90 + % des Américains qui voyagent dans les véhicules particuliers est d'arrêter de dépenser 1 dollar des impôts sur les transports en commun sur 4 et de commencer à dépenser ces dollars sur la réparation des autoroutes existantes et des ponts existants, qui en ont cruellement besoin.

Loi sur l'habilitation des transports

Quatre républicains, les sénateurs Mike Lee (R-Utah), Ted Cruz (R-Texas), Marco Rubio (R-Floride), Pat Roberts (R-Kansas), et Ron Johnson (R-Wisconsin), sont derrière une loi de parrainage sur les transports qui ferait exactement cela.
(Maintenant vous comprenez pourquoi il y a un tel besoin de diaboliser les membres du parti républicain et les membres de la Tea Party, tant aux USA qu'en France.)
Cela permettrait également aux fonctionnaires d'État et locaux une plus grande liberté de dépenser des fonds routiers de toute urgence sur les projets de la route les plus nécessaires à la place de métros, des bus et des pistes cyclables.

 … Pensez-y: Qu'est-ce qui rendra le trajet du matin et du soir plus facile et plus sûr : dépenser des fonds de la route sur plus de routes et sur de meilleures routes, ou sur plus de pistes cyclables?

2014/07/28

Louis de Funès, qui aurait 100 ans aujourd'hui, critiquait la gauche pour ses "rires aux dépens des autres, des rires tristes, à pleurer"

Today would be the 100th birthday of Louis de Funès, the comic French movie star who in 1971 criticized leftist humor as being "at the expense of others [and causing] sad, weeping laughter."
Le Monde : Savez-vous que des jeunes considèrent votre comique sans cible politique comme démobilisateur et donc favorable à l'ordre etabli?


Louis de Funès : Ce sont des isolés et je demande à voir leur photo ! Etre de gauche, c'est une mode, comme les cheveux longs. Le rire, lui, dure. Il est innocent. Je ne vois pas comment on peut aller lui chercher des sens cachés. … nous on est l'antidote. Et qu'on ne me dise pas qu'ils rient en Union Soviétique ou dans les pays communistes ! Des pièces comiques, il n'y en a pas lourd …

Le Monde : Un nouvel humour apparaît, très critique. Qu'en pensez-vous?

Louis de Funès : Ah oui! le rire de gauche pour cafés-théâtres, comme Romain Bouteille, ce sont des rires aux dépens des autres, des rires tristes, à pleurer, je n'aime pas ça. Ils arrachent tout, ils jettent tout aux ordures sans rien reconstruire. …