Révélations sur le politiquement correct, les partis pris et le refus de mettre en doute les grandiloquences auto-congratulatoires des autorités (avec preuves à l'appui) qui sévissent dans le journal de référence, Le Monde, et dans d'autres médias français…….Bilingual Documenting and Exposing of the Biased Character of French Media, Including its Newspaper of Reference, Le Monde
a exposé une bombe de communications internes par la direction de
Twitter en 2020. Les échanges d'e-mails prouvent que Twitter avait activement collaboré avec la
campagne présidentielle 2020 de Biden, ainsi qu'avec le Comité National Démocrate, pour étouffer
l'histoire de l'ordinateur portable de Hunter Biden afin de faire pencher l'élection en faveur de Joe
Biden. . Twitter a délibérément supprimé le premier amendement, la liberté d'expression d'un grand
journal d'information américain et de citoyens ordinaires pour interférer dans l'élection
présidentielle. C'est l'un des plus grands scandales en Amérique car il confirme non seulement le
parti pris politique d'une grande plate-forme de médias sociaux, mais, plus important encore, il
expose les attaques coordonnées contre la démocratie américaine par Joe Biden et le Parti
Démocrate qui ont utilisé le poids et le pouvoir du gouvernement pour aider à censurer les voix de
l'opposition qui disent la vérité. Après l'authentification de l'histoire de l'ordinateur portable Hunter,
des sondages ont montré que 79% des électeurs américains pensent qu'une couverture «véridique»
de l'histoire de Hunter Biden aurait changé le résultat des élections de 2020 (NY Post), dont 17% des
électeurs de Biden qui ont déclaré qu'ils n'auraient PAS voté pour Biden s'ils avaient connu la vérité
(Media Research Center). Avant les récentes élections de mi-mandat aux États-Unis, Biden a
prononcé de nombreux discours controversés qui ont calomnié les républicains de MAGA comme la
"plus grande menace pour la démocratie". Il devient enfin clair que la menace véritable et réelle pour
la démocratie est l'administration Biden et le Parti Démocrate.
La Démocratie meurt avec La Censure
Qu'est-ce qui a été censuré ? Musk a révélé la censure coordonnée d'un article du New York Post
d'octobre 2020, un mois avant les élections présidentielles de novembre 2020. L'article du New York
Post a été préjudiciable au candidat de l'époque, Joe Biden, car il a révélé que son fils Hunter Biden,
par le biais d'e-mails réels trouvés sur son ordinateur portable abandonné, avait été impliqué dans
des activités infâmes de type "pay to play" alors que son père était vice-président sous Obama.
L'ordinateur portable de Hunter, qui a depuis été authentifié, a montré qu'il était impliqué dans la
gestion de l'accès à son père pour les responsables politiques Ukrainiens alors qu'il recevait un
énorme salaire d'une société Ukrainienne d'énergie. Après avoir consulté l'équipe de la campagne
2020 de Biden, les dirigeants de Twitter ont décidé de qualifier scandale de l'ordinateur portable
Hunter Biden de "désinformation Russe" et de bloquer tous les tweets tentant de discuter et de
partager l'histoire de l'ordinateur portable de Hunter Biden. Les médias partiaux et toutes les autres
plateformes de médias sociaux ont décidé de soutenir collectivement ce faux récit afin d'éviter le
"...désastre de 2016" (l'élection de Trump) selon les échanges des dirigeants de Twitter exposés par
Musk. Nous avons appris depuis que Hunter avait été payé des millions de dollars par des entreprises
chinoises et russes et, prétendument, son père aurait reçu 10 % de l'argent.
Bien sûr, rien de tout cela n'est nouveau pour les conservateurs américains qui sont au courant de ce
scandale depuis la mi-2020, avant même l'article du New York Post. Les conservateurs qui ont tenté
de parler du scandale ont été censurés, humiliés et calomniés pour s'être exprimés, non seulement
par Twitter, mais par toutes les plateformes de médias sociaux, y compris Facebook, Google et
Instagram, ainsi que par les grands médias d'information, et pas seulement en octobre 2020 mais
tout au long de 2021 et 2022. Le contrôle de la société américaine par les Démocrates et l'aile
gauche est si fort qu'il a fallu qu'Elon Musk achète Twitter et expose la communication réelle en
coulisses pour finalement prouver ce que nous savions déjà. Ce contrôle de gauche se compose du
Parti Démocrate, des médias de gauche biaisés, des médias sociaux Big Tech, des universités,
d'Hollywood et même d'une grande partie des entreprises américaines actuelles qui se sont pliées à
la foule idéologique de gauche. Ensemble, ils créent une puissante « cabale de gauche » qui
supprime les voix d'opposition de droite, jugées extrêmes et haineuses. En fait, Joe Biden qui
prononce des discours haineux contre des citoyens américains ordinaires de droite, les accusant
d'être des extrémistes qui refusent les élections et menacent la démocratie.
Aussi horrible soit-elle, la collusion de Twitter avec l'administration Biden n'est que la pointe de
l'iceberg en ce qui concerne les efforts de Biden pour censurer l'opposition et détruire la démocratie.
Après avoir été élu, Biden a tenté de créer un organisme appelé le "Conseil de gouvernance de la
désinformation", dans le cadre du département de la sécurité intérieure (DHS). Il a embauché un
activiste de gauche ouvertement partial pour diriger le département et être responsable de la
«vérification des faits» de la soi-disant «désinformation» de droite. Cette mesure était si
ouvertement partisane, à l'image des gouvernements totalitaires, qu'elle a suscité l'indignation du
public, qui l'a qualifiée de "ministère de la Vérité", comme dans le roman "1984" de George Orwell.
Tous les Républicains et même certains Démocrates ont demandé que le groupe soit immédiatement
dissous et Biden a été contraint de le faire en quelques semaines (voir l'article de Causeur du 18 mai
2022 du même auteur).
La politisation par Biden des agences de renseignement et du ministère de la
Justice
La manière dont l'administration Biden et le Parti démocrate ont politisé et militarisé les agences de
renseignement américaines et le ministère de la Justice (DOJ), qui supervise le FBI, est encore plus
inquiétante et totalitaire. Lorsque les informations sur l'ordinateur portable Hunter Biden ont été
exposées pour la première fois par le New York Post en octobre 2020, quelque 51 anciens
responsables du «renseignement» américain, dont beaucoup avaient servi sous le président Obama
et ont ensuite contribué à des sites de d' "information" de gauche comme CNN et MSNBC, ont
rapidement publié une réponse commune. Cette réponse affirmait que l'ordinateur portable "avait
toutes les caractéristiques d'une campagne de désinformation russe", même après avoir admis qu'ils
n'en avaient aucune preuve de cela et qu'ils n'avaient aucune idée de l'authenticité des e-mails. Ils
sont juste "suspects" qu'ils ont dit. Pourquoi? Parce qu'ils ont nui à la campagne de Biden, c'est une
preuve suffisante. Cette déclaration ambigüe "d'affectation spéciale" a permis à toute la cabale de
gauche d'utiliser cette lettre comme couverture pour diffamer les Républicains en tant que
dangereux théoriciens de la conspiration tout en donnant aux auteurs la possibilité de dire qu'ils
n'ont jamais réellement confirmé qu'il s'agissait de désinformation russe. C'était la politisation claire
de la communauté du renseignement pour protéger la campagne de Joe Biden juste avant les
élections. . Depuis que l'ordinateur portable et son contenu ont été authentifiés et qu'il ne s'agit en
aucun cas de désinformation russe, aucun des agents du "renseignement" n'a présenté d'excuses ou
n'a été tenu responsable de sa propre désinformation.
Depuis l'élection de Biden, son ministère de la Justice n'a cessé de harceler les citoyens américains
pour avoir des opinions contraires au récit de la Maison Blanche de Biden. Le procureur général
Merrick Garland, à la tête du ministère de la Justice, a rédigé une lettre très critiquée dans laquelle il
comparait des parents inquiets à des terroristes nationaux pour avoir simplement exprimé leurs
préoccupations lors des réunions des conseils scolaires locaux au sujet des idéologies d'hyper-gauche
qui contaminent l'éducation de leurs enfants. Garland a demandé à des agents du FBI de surveiller
ces parents soi-disant dangereux, ce qui a conduit à la présence d'agents du FBI sous couverture lors
des réunions du conseil d'administration de l'école pour les intimider et les faire taire. Mais cela n'a
pas fonctionné, et il n'est pas surprenant que des parents courageux continuent à s'exprimer pour
protéger leurs enfants et commencent à faire la différence.
Après le 6 janvier 2021, le FBI de Biden a harcelé et arrêté des Américains dans tout le pays, certains
qui n'étaient même pas entrés dans le Capital Building. Certains de ceux qui sont entrés dans la
capitale pour prendre des selfies au bureau de Pelosi, ont été détenus dans des conditions
semblables à celles d'une prison de goulag pendant près de deux ans, beaucoup en isolement, sans
représentation légale ni même de visites privées, la plupart attendant toujours leur procès sans
caution. Biden a créé, pour la première fois en Amérique, des prisonniers politiques. . Il n'hésite pas à
envoyer des agents armés du FBI faire des descentes surprises, tôt le matin, au domicile de partisans
de Trump, culminant bien sûr avec le raid sur le domaine Mar-A-Lago de Trump en août dernier.
Tout au long de 2021, le ministère de la Justice de Biden a aidé à renforcer le mandat de vaccination
contre le COVID pour tous les fonctionnaires du gouvernement sous peine d'être licenciés, y compris
les militaires et même les intervenants de santé de première ligne. Des dizaines de milliers de
personnes ont ainsi perdu leur emploi et leurs avantages sociaux.
Après que la Cour Suprême a annulé le jugement Roe vs Wade et renvoyé la question du droit à
l'avortement à chaque État, Biden n'a rien fait pour empêcher les voyous de gauche de harceler
illégalement les juges à leur domicile. Le harcèlement des juges de la Cour Suprême est illégal selon
la Constitution des États-Unis. Le juge Bret Kavanaugh, une cible fréquente de la foule de gauche
pleine de haine, a même fait l'objet d'une tentative d'assassinat, déjouée par la police qui a agi
rapidement. Biden, bien sûr, n'a rien dit pour protéger les juges. Plutôt que d'essayer d'unir les
Américains derrière ses politiques, Biden a préféré menacer de détruire les structures démocratiques
américaines qui ont fait leurs preuves, par exemple en doublant le nombre de juges à la Cour
suprême pour garantir une majorité d'activistes de gauche, ou en éliminant le filibuster au Sénat, qui
oblige les sénateurs à faire des compromis et empêche la règle de la majorité simple.
Lorsque l'on considère le comportement totalitaire constant de l'administration Biden, il n'est pas
surprenant que Biden soit silencieux et absent lorsqu'on lui demande de condamner le Parti
communiste chinois pour le traitement horrible et inhumain de ses propres citoyens par le COVID, ou
de faire quelque chose pour soutenir le meurtre et la répression du courageux peuple iranien par son
propre gouvernement islamo-fasciste. Le silence de Biden n'est pas sans rappeler le silence
pathétique d'Obama pendant la révolution verte iranienne de 2009.
Les républicains reprennent la majorité à la Chambre des représentants
Après avoir regagné la Chambre des représentants lors des élections de mi-mandat du mois dernier,
les Républicains en prendront le contrôle en janvier 2023 et ont déjà annoncé qu'ils commenceraient immédiatement des enquêtes sur le rôle de Joe Biden dans les affaires corrompues de Hunter. Les
Républicains commenceront également à demander des comptes aux différents départements
exécutifs de Joe Biden pour leurs attaques anticonstitutionnelles contre la liberté d'expression
d'opinions opposées, leur ciblage injustifié de parents inquiets, leur création de prisonniers politiques
et leurs politiques irresponsables de "frontières ouvertes" qui ont permis à un nombre record de 5
millions d'étrangers illégaux d'entrer aux États-Unis au cours des deux dernières années. C'est un bon
début alors que nous nous dirigeons vers la saison des élections présidentielles de 2024 et que nous
entamons le lent processus visant à réparer les erreurs de Biden et à rétablir une véritable
démocratie aux États-Unis.
At
the very end of the debate (1:20:55), there is a reference to David
Chapelle quoting the very first debate of 2016 to his Saturday Night
Live audience:
• Donald Trump: The whole system is rigged!
• Moderator: Well, Mr. Trump, if in fact the system is rigged, as you suggest, what would be your evidence?
• Donald Trump: I know the system is rigged because I use it
France's Géo monthly has a short article by Athénaïs Cornette de Saint Cyr about July 4, 1776 and the American Revolution.
… les années 1770 furent caractérisées par le développement d'un nouveau
slogan : "No taxation without representation" (Pas de représentation,
pas de taxation).
… Dans ses débuts, la révolution était particulièrement difficile pour les
colons insurgés, aussi appelés patriotes : en plus de se battre contre
les soldats britanniques, ils devaient également affronter les colons
restés fidèles à la couronne anglaise, appelés loyalistes. Néanmoins,
l'avantage finit par leur revenir lorsque les patriotes formèrent
l'armée continentale dirigée par George Washington. De plus, le soutien
sournois de la France, amère d'avoir été vaincue par l'Angleterre quelques années auparavant, conféra un véritable avantage aux insurgés.
… Le 4 juillet 1776, à Philadelphie, les colonies américaines firent
officiellement sécession, donnant naissance à une nouvelle nation : les États-Unis d’Amérique.
Toutefois,
rien n'était encore joué pour le nouveau pays : l’Angleterre, loin de
consentir à cette décision, multiplia les offensives.
In the wake of, and following the hysteria regarding, Cassidy
Hutchinson's allegedly explosive revelations before the January 6th
committee, Philippe Karsenty and Erik Svane — both conservatives heavily
outgunned, as usual, by the drama queens — were invited to appear on two BFMTV debates.
Près
d'un an et demi après les assauts du Capitole à Washington, les
auditions parlementaires continuent et permettent d'en savoir davantage
sur le rôle joué par l'ancien président américain. Donald Trump a essayé
de prendre le volant d'une limousine présidentielle le 6 janvier 2021
pour rejoindre ses partisans qui marchaient vers le Congrès, a rapporté
une ancienne collaboratrice de la Maison Blanche lors de son audition
parlementaire. On en parle avec: Antoine Heulard, notre correspondant à
Washington (États-Unis). François Durpaire, consultant États-Unis pour
BFMTV. Philippe Karsenty, porte-parole du Parti républicain en France.
Philippe Corbé, chef du service politique de BFMTV. Et Amandine Atalaya,
éditorialiste politique à BFMTV.
Later, that evening, Erik Svane appeared for the debate entitled Capitole : le rôle explosif de Trump (video), but only via Skype, where guests with a non-PC viewpoint can more easily be silenced.
Voilà
une question lourde : Donald Trump a-t-il fomenté un coup d’État ? La
question obsède la Commission d'enquête parlementaire mise en place au
Congrès américain le 6 janvier 2021. Au fil de ces auditions, on
découvre à quel point cet assaut du Capitole n'est pas spontané, mais
orchestré. De plus, le tout dernier témoignage en date est accablant
pour Donald Trump.. On en débat avec : Ulysse Gosset, éditorialiste
politique internationale BFMTV. Erik Svane, membre des “Republicans in
France”. Antoine Heulard, correspondant BFMTV à Washington (États-Unis).
Amy Greene, enseignante à Sciences Po Paris et spécialiste de la vie
politique américaine et collaboratrice de “Les États-Unis dans le monde”
aux éditions du CNRS. Et Anne Krratz, historienne, spécialiste des
États-Unis à l'Institut Open Diplomacy.
In the wake of, and following the hysteria regarding, the Supreme Court's decision to overturn Roe Vs. Wade, Paul Reen and Philippe Karsenty — both conservatives heavily outgunned, as usual — appeared on two BFMTV debates.
The
title is a bit misleading as I eventually said that it is possible that
SCOTUS could use the same logic and send other decisions back to the
states, like gay marriage, for the people to decide, they did get it
correct in the article though.
I am shocked that BFM is spreading the lie that women in LA risk 10
years of prison time if they now have an abortion. This only applies to
the physicians not the women.
Philippe Karsenty listens to François Durpaire
Before appearing, Paul Reen summarized the following talking points:
1. SCOTUS decision is merely a legal decision , not political
and not moral. They are not criminalizing abortion like Biden said in
his speech. They are simply returning the decision to each state to
decide as it should have been done in 1973 since abortion is not
included in the US Constitution. This is important to state since most
French and Europeans do not understand how the 3 branches of govt work
in the US. They think SCOTUS creates laws, idiot Democrats think the
same thing since liberal left wing judges constantly « legislate from
the bench ». But only the Federal législature (Congress) and State
legislatures are supposed to create laws.
2. Now each state
must decide, they will vote codify laws for abortion. They will start to
do this immediately, probably in parallel with Congress but the states
will act quicker and Congress is so polarized they probably won’t get
anything agreed to. Again, unlike the hysteria just incited by Biden,
IMO the majority of states will vote in favor of abortion. Blue states
will continue with no restrictions, most red states will allow abortion
with restrictions and a small minority will ban them completely. The
open question is still whether those states will allow abortion in the
rare cases of rape and incest. Bottom line for me is that any increase
in restrictions is a good thing!
3.Biden has completely
politicized this of course and added to the outrage and hysteria for
political purposes. He blames it all on Trump and said the Nov election
is all about abortion rights. He is so desperate because his presidency
is a complete and utter failure.
4. Now the US has to prepare
for more Left wing , unhinged violence. Since the leak of this
decision, Biden had many chances to tell people to stop harassing SCOTUS
justices at their homes but never said a thing. Kavanugh and his
family’s life was even in danger by a crazy leftist , luckily prevented
by police. It is actually against federal law to protest at the homes of
justices. Good that Biden said something in his speech to protest
peacefully but it’s too little too late, the left is in rage and will
attack pro-life associations, private people , churches , whatever.
5.
Obviously this will galvanize Democrats to get to the polls in Nov but
between no and Nov, we’ll see many states agreeing to keep it legal so I
still believe that Republicans will win big.
6. Nancy
Pelosi has said that SCOTUS is completely hypocritical as they just
ruled that it is not constitutional that New York State impose severe
restrictions on concealed carry gun laws, but states CAN restrict
abortion rights. The big difference is that the right to bear arms is
IN THE CONSTITUTION !
It should be emphasized
that by returning the decisions to the states , it’s returning the
decision back to THE PEOPLE. States are very different in the US and the
people vote per state. This is a completely foreign concept for the
rest of the world.
To this I added more things to ponder:
Les Français
et les européens présentent souvent les décisions de la cour suprême
américaine comme étant équivalentes À une décision similaire sur
l’avortement en France
C’est oublier que les
États-Unis ne sont pas un pays similaire à la France ou au Danemark.
Les États-Unis sont plus une fédération comme l’Union européenne (en
fait, un peu entre les deux, entre un pays et une union).
C’est ici qu’on voit l’hystérie de la gauche, tant aux États-Unis qu’en Europe
1) il est habituel de présenter les Américains comme des Néandertaliens qui sont beaucoup plus régressifs que les Européens.
Or,
en ce qui concerne l’avortement — en admettant que l’on présente la
procédure comme une chose positive — les Yankees ont été beaucoup plus «
en avance » que les Européens
Les États-Unis
ont souvent autorisé l’avortement jusqu’à 24 semaines, alors que les
Européens autorisent l’avortement « seulement » jusqu’à 13-14 semaines.
En
outre, on voit the partisanship de la gauche américaine quand on sait à
quel point ils ont insisté pour autoriser l’avortement « sur demande »
et même parfois, après la naissance (!).
2) dans cette perspective, on voit À quel point la décision de la cour suprême est, somme toute, banale.
Ce que les juges ont fait, c’est de remettre l’union américaine … à égalité avec… l’Union européenne (!)
En effet, les 50 états des USA sont désormais exactement au même niveau que les 27 membres de l'UE.
Il
n’y a pas de Décision européenne pour toute l’Europe, tout se fait au
niveau des états membres. Des pays comme l’Irlande, le Portugal, et la
Pologne ont tous interdit l’avortement (sont-ils toujours interdits ? Je
ne le sais…) ainsi que d’autres « droits » comme le divorce…
To this Paul replied that
I also wanted to than Erik for his comments which were perfect. We never
have the time to say everything we want and I wanted to speak on Dobbs.
Related to the points that Erik wrote, keep in mind how the case made
its way to SCOTUS which gave them the opportunity to rule on Roe. It was
the case In Mississippi, « Dobbs vs Jackson Womens Health Organization
». You should all get familiar with it plus Alito’s response.
Dobbs
actually started back in 2018 where the Republican State Legislature
actually VOTED to restrict abortions in their state to 15 weeks (I think
from 24-26 weeks). ONE week more than France and THREE weeks more than
the 12 week limit in France in effect until this year.
The Democrats
immediately filed lawsuit screaming that this was unjust to women and a
violation of Roe v Wade (actually Casey which addressed « undue » state
limitations but didn’t specify number of weeks). THE Mississippi
Republicans didn’t give up and kept appealing the decision even though
every local and circuit liberal judge sided with the crazy democrats.
Until it reached SCOTUS. They decided to take it and voila.
So I think
that much of the blame can be put on the Democrats themselves for their
arrogance and inability to compromise and extreme movement to the left
by pushing abortion rights up until 9 months (7 state before the Roe
reversal and probably many more to come). Not to confuse the fact that
the SCOTUS decision was NOT political, strictly legal, but that the
sentiments in the US society today among red states and pro-lifers is
that they are completely fed up with extreme pro choicers and have
hardened their responses as a result.
Let's end this post with a hat tip to
Tucker Carlson,
who points out the double standards of the left, i.e., that
"insurrection" is actually fine when practiced by Democrats, leftists,
and like-minded drama queens… IVG/USA : La grande régression ? - 25/6
Dans
le siège de la décision de la cour suprême américaine, qui a révoqué le
droit fédéral à l’avortement, faut-il s’inquiéter pour d’autres droits
aux États-Unis ? Est-ce la grande régression ? On en parle avec :
Antoine Heulard, correspondant BFMTV Washington. Gérard Araud, ancien
ambassadeur de France aux Etats-Unis. Paul Reen, président de
“Republicans in France”. Le maître Julia Grégoire, conseillère
juridique, porte parole Democrats abroad France. Et François Durpair [sic],
consultant Etats-Unis pour BFMTV.
On Wednesday, I was the very first American,
Republican, and/or pro-Republican to accept an invitation to a debate
on the Uvalde tragedy in Texas on French television.
Among the things I brought up during the news show on the BFMTV
channel, or tried bringing up — there were three people against me,
after all, or five, counting the two moderators (sic) — were the 2011
massacre of 77 people in Norway, most of them teenagers, as well as othernon-American mass killings which I mentioned years ago in a rebuttal letter to the New York Times — see how the French drama queen
seated next to me goes almost berserk when I try to broach the subject
of the 10 to 15 victims each in various German and Finnish schools or
universities.
Beyond that, my main message was the "two taboo subjects" on the gun control issue, which are the same as those discussed in a piece from National Review's John Fund:
1) the leftists' "tolerance" for and "lack of judgment" against people
with mental illness (leading the latter to being freed from psychiatric
hospitals); in addition to 2) “gun-free” zones, praised everywhere, but
actually counterproductive.
L'Amérique sous le choc après la fusillade dans une école au Texas - 25/05
Au lendemain de la fusillade qui a tué au moins 19 écoliers et deux enseignants dans une écoleélémentaire
d'Uvalde au Texas (États-Unis), les réactions attristées et choquées se
sont succédées ce mercredi. Outre-Atlantique, l'invariable débat sur la
détention et la régulation des armes à feu est relancé par un Joe Biden
affligé. On y revient avec: Antoine Heulard, correspondant de BFMTV à
Washington (USA). Erik Svane, membre des Républicains Overseas. François
Durpaire, consultant États-Unis de BFMTV. Amandine Atalaya, notre
éditorialiste politique. Ulysse Gosset, notre éditorialiste politique
internationale. Et Mahali Chalais, journaliste de BFMTV
Le | Durée : 22:59 Par Olivier Truchot et Alain Marschall
As it happens, I had taken a train to Switzerland that morning
when, not an hour later, I got not one call from the BFMTV channel, but
two from a duo of reporters independently, almost at the same time, for
two different news shows, neither knowing a fellow colleague at the same
station was calling me, within a minute or two.
I immediately decided to cancel my trip, bailed out of my TGV Lyria at the very first stop (Dijon) and ran to another quai — with four bags and one cat — to get on the next train back, leaving only four minutes later.
À l’approche des élections de
mi-mandat, qui se tiendront aux Etats-Unis en novembre prochain, le
président Joe Biden a annoncé la création d’un Conseil de la gouvernance
de la désinformation. Au nom de la lutte contre les fake news et les
ingérences étrangères, les Républicains, et de nombreux Américains avec
eux, y voient un «Ministère de la Vérité».
L’administration Biden a créé un Conseil de gouvernance de la
désinformation (Disinformation Governance Board) au sein du Département
de la sécurité intérieure (Department of Homeland Security) américain.
Ce conseil déterminera quelles informations diffusées dans les médias,
en ligne et sur les médias sociaux sont « vraies » et lesquelles ne le
sont pas. C’est lui, et lui seul, qui sera l’arbitre de la vérité.
Les
politiques Républicains et certains indépendants ont qualifié le conseil
de « ministère de la Vérité », comme celui qui figure dans 1984
d’Orwell et qui oblige les gens à croire que 2 et 2 font 5 plutôt que
4. L’idée que le gouvernement puisse nommer un conseil pour contrôler la
vérité est tellement dystopique que l’annonce a envoyé des ondes de
choc dans tout le pays, sauf chez les Démocrates qui y ont vu un outil
nécessaire pour faire taire les Républicains
suprémacistes-blancs-menteurs.
Suite à l’esclandre déclenché par l’annonce, le secrétaire du DHS, le
Démocrate Alejandro Mayorkas, a tenté de « clarifier » le rôle du
Conseil pour limiter les dégâts. Selon lui, il s’agira d’un conseil
« non partisan » qui n’attaquera en aucune façon la liberté d’expression
et se concentrera uniquement sur la désinformation liée au contrôle de
l’immigration et à d’autres menaces concernant la sécurité nationale.
Mais comment croire un secrétaire du DHS qui est lui-même chargé de
superviser la plus grande arrivée d’immigrants illégaux de toute
l’histoire des États-Unis (plus de 2 millions de personnes en 2021) et
refuse même de reconnaître que nous connaissons une crise ?
En fait, Mayorkas a annoncé la création de ce conseil en avril au cours d’une audience de la Commission sur la sécurité intérieure de la Chambre de représentants. Il l’a fait en répondant à une représentante Démocrate qui lui a demandé ce que faisait son département pour combattre « la
désinformation qu’on a vue lors des élections de 2016 et de 2020 et
qu’on verra peut-être lors des élections de mi-mandat de 2022 ». Selon elle, cette désinformation ciblait spécifiquement « les personnes de couleur et hispanophones » …/…
Sur l'émission de Darius Rochebin sur LCI il y a quelques semaines, vers le 20 mars, l'occupant actuel de la Maison Blanche a été critiqué pour avoir dit que Vladimir Poutine ne pouvait rester à la tête du Kremlin.
Et à Joe Biden d'être accusé d'être dangereux en prétendant vouloir pratiquer le changement de régime (regime change) à Moscou.
La contre-attaque (par ailleurs, dans un français parfait, sans accent) est venue de Charles Adams, ancien ambassadeur des États-Unis à la Finlande :
Nous [aux États-Unis] n'avons pas changé de régime, nous avons évincé un président indésirable.
(L'ancien ambassadeur, qui vit à Genève, a soit utilisé le mot "nuisible" soit le mot "indésirable", selon les souvenirs de Evelyne Joslain.) Après quelques secondes de battement, Adams s'est empressé d ajouter :
Démocratiquement, bien sûr…
Mais ce n'était pas terminé pour les Démocrates. Ancien premier ministre, Laurent Fabius a rétorqué que
Quand même, il faut reconnaître que Obama n'a pas été à la hauteur avec sa ligne rouge en Syrie. Puisque non seulement Assad a utilisé les armes chimiques, mais il les a utilisés contre des enfants.
Fait intéressant : Charles Adams serait le descendant, direct ou indirect, de deux présidents des États-Unis, John Adams et son fils John Quincy Adams. (Avant la famille Bush, c'étaient les seuls père et fils à avoir occupé la Maison Blanche, dont la construction a été terminée pendant le mandat de ce premier.)
Beaucoup de Johns et de Charles et de VIPs dans la famille Adams (le fils de JQA était déjà ambassadeur de Abraham Lincoln à Londres, lorsque la Guerre de Sécession a failli détruire la paix entre les États-Unis et la Grande-Bretagne), à tel point que dans les années 1970, la télévision américaine a réalisé une mini-série sur plusieurs générations de la famille.
Or, il s'avère que John Quincy Adams est à l'origine de l'une des premières élections contestées de l'Histoire des États-Unis, en 1824 quand lui et Henry Clay ont manœuvré pour interdire la présidence à Andrew Jackson.
Que les manœuvres aient été "fair play" on non, Andrew Jackson s'est senti "volé" et a juré de revenir prendre sa revanche quatre ans plus tard. Ce qu'il a fait.
Tout ça pour se demander, comme le dit Evelyne Joslain, si les propos de Charles Adams ne sont autre que scandaleux, ainsi qu'un aveu, direct ou indirect, que l'élection de 2020 était une "stolen election."
Dans Dreuz, Evelyne Joslain nous livre ses pensées sur l'invasion russe de février 2022 : Tandis que l’Ukraine agonise. (On peut lire une traduction anglaise sur No Pasarán.)
L’Occident fait bloc derrière Zelinsky, en belles paroles, en tout cas. L’émotion nous
submerge mais la détermination à défendre l’Occident est inexistante. Seuls des combattants
volontaires de toutes nos démocraties , qui se sont engagés spontanément à défendre l’Ukraine et
notre civilisation, sauvent l’honneur. Car ne nous y trompons pas, Poutine ne va pas s’arrêter aux
frontières de l’Ukraine. Cette Guerre Mondiale III que l’on veut tellement éviter a déjà commencé.
Même si Poutine était stoppé, mirâculeusement, il resterait la Chine et l’Iran, puisque nous
sommes en face d’un nouvel Axe du Mal qui s’est patiemment construit et ne cache pas ses
aspirations à détruire l’UE (ce qui ne serait pas un drame) mais aussi l’OTAN et les USA en tant
que 1ère puissance. L’Axe veut un Nouvel Ordre Mondial, avec sa monnaie, son système bancaire
international, ses lois...Cela conviendrait-il à tous ceux qui pestent depuis des décennies contre
« l’impérialisme américain »?
Rappelons que la Chine et la Russie ont toutes deux un droit de veto à l’ONU
(organisme résolument anti-Ouest qui ne sert à rien sauf à conforter les dictateurs) et bénéficient
toutes les deux d’un absurde statut de nation commercialement protégée. Certes, la Russie
profonde et les campagnes chinoises sont absolument du Tiers Monde, mais nous ne sommes pas
censés le savoir. Quant à l’Iran, 3è de l’Axe, les mêmes Occidentaux qui grondent Poutine devant
les télévisions sont, en huis clos à Vienne, très affairés avec les Russes et le PCC à peaufiner le
Iran Deal ressuscité d’Obama. Obama avait voulu cet accord par pure infatuation pour les
Islamistes . Biden veut désespérément son retour (et au diable le Congrès, un ordre présidentiel
fera l’affaire) car le pétrole est bon à prendre chez tous les dictateurs et ennemis des Etats-Unis
mais surtout pas chez les producteurs américains.
Il n’y a pas plus anti-américain et traitre à sa
patrie que la gauche américaine actuelle, et rien de plus hypocrite et absurde que l’écologisme
d’état, préoccupation première des dirigeants occidentaux. Quant aux ayatollahs, ils ont exigé et
obtenu du squatteur de la Maison Blanche que ce soit un Russe, Mikhail Ulyanov, qui négocie pour
les Etats-Unis! C’est dire le sérieux que Biden accorde à l’Ukraine martyre: la « crise ukrainienne
«, comme il l’appelle, est un contretemps agaçant (pour les gauchistes, tout est « crise » et donc
bon à exploiter, ce qu’il fait).
Notons aussi que comme pour le premier Iran Deal, aucune
puissance régionale n’est invitée: cela se passe entre Chine, Russie, France, Royaume Uni,
Allemagne. Cet accord est essentiellement à l’avantage de l’Iran: le tirer de l’isolement où ses
méthodes inacceptables l’ont placé. Aucun avantage pour les Occidentaux, sauf pour les politiques
et pour quelques grosses sociétés, donc des intérêts très spéciaux: un « pognon de dingue à se
faire », selon la formule... Quant à l’arme atomique, depuis le temps qu’ils dupent l’AIEA, les
iraniens l’ont probablement déjà.
On est confondu aussi par la félonie de Macron et de Johnson, tenus comme Biden,
à respecter le Mémorandum de Budapest signé solennellement par leurs pays respectifs en 1994,
c’est à dire à assurer l’intégrité territoriale de l’Ukraine en échange de la remise docile de ses
armes nucléaires. Au lieu de cela, nos dirigeants sont pressés de retourner aux affaires et
d’aggraver notre dépendance vis à vis de puissances hostiles. Les sanctions n’affectent d’ailleurs
que les 2/3 de l’économie russe. Surtout, la force militaire de l’OTAN dépend du président
américain (par la faute des Européens qui n’ont rien fait pour acquérir à l’intérieur de l’Alliance des
armées dignes de ce nom, à part la France, la Turquie, la Grande Bretagne). Mais surtout, Biden
est tout sauf un chef: corrompu jusqu’à la moelle, il est impliqué dans des affaires mafieuses avec
les Ukrainiens, les Russes et les Chinois, donc tenu! Tout étant spectacle, les média occultent ces
vérités gènantes et se concentrent sur la tragédie de l’Ukraine qui agonise.
Poutine sonde la mollesse d’un Occident largement décadent, dévirilisé et
pathétique, qui trouve tous les prétextes techniques pour ne pas s’impliquer. Après 25 jours
d’agression-invasion , l’argent afflue vers l’Ukraine mais pas les armes vraiment « offensives »
qu’elle réclame, seulement des armes « défensives ». On soutient donc mollement une guerre que l’on croit perdue d’avance car on craint qu’un Poutine qui ne peut se permettre de reculer n’utilise
un missile pour régler la saisie de l’Ukraine. On cède au chantage nucléaire de Poutine sans
comprendre qu’il se joue de nous. Il a fait comprendre que l’équilibre par la dissuasion mutuelle
était obsolète dès 2020.
On est donc terrorisé pour des raisons dont nous sommes complètement
responsables: les Occidentaux se sont unilatéralement désarmés, force conventionnelle et
nucléaire, Etats-Unis et Union Européenne (grâce à l’idole, Obama, la Russie a 1500 têtes
nucléaires, le double des USA). Et ils se sont en plus unilatéralement dépossédés de leurs
énergies fossiles, préférant donner à eux tous 1 milliard de dollars par jour pour le gaz russe,
obéissant aux diktats des écologistes forcenés.
Pour Poutine, la conjoncture était idéale: aux Etats-Unis, l’arrivée au pouvoir par la
fraude d’un trio particulièrement minable et destructeur: Biden, Harris, Pelosi, les 3 premiers
personnages de l’état, ont amplement prouvé à quel point ils sont indignes de leurs fonctions.
Autres grandes figures actuelles de l’Occident et de l’OTAN, Trudeau qui, comme Biden a montré
sa fibre totalitaire contre son propre peuple, Boris Johnson, souvent plus bouffon que Premier
Ministre, Macron qui soutient l’Ukraine en se déguisant en Zelinsky. Et aucun n’a renié son
engagement dans la fraude écologiste, bien au contraire: toute « sortie de crise » passe par la
« transition verte », affirment-ils, d’abord Covid puis à présent « crise ukrainienne » .
Qui ose les contrer? Une moitié de l’Amérique mais pas les Européens
profondément endoctrinés. L’écologisme, 3è sujet d’inquiétude des Français juste après leur
pouvoir d’achat et leur santé. Pas un candidat à la présidentielle (devenue un non-événement) qui
ne sacrifie à cette hérésie! Ils ont même tous un programme écolo précis, même si c’est
évidemment la gauche qui mène le bal puisque l’écologisme n’est rien d’autre que du marxisme
redistributionniste. Ignorant la décence la plus élémentaire, les écologistes ont même organisé des
manifestations le samedi 12 mars, partout en France, pour protester contre le fait que l’Ukraine
captait toute l’attention des média au détriment de la planète...
L’écologisme, folie suicidaire, triste exception occidentale qui sidère tous les autres
pays du monde qu’on ne peut blamer de profiter de tant de stupidité. La vérité émerge sur Poutine:
si l’Ukraine connait un niveau de corruption égal à celui de la Russie, Poutine est néanmoins
l’agresseur et démontre à quel point il n’a rien d’Européen. Il est complètement pénétré par les
thèse eurasianistes d’Alexandre Douguine, thèses qui s’accommodent très bien de tous les
éléments asiatiques et musulmans, les unissant dans une même détestation de l’Occident et dans
un même suprémacisme eurasianiste.
Du reste, Poutine révèle sa mentalité médiévale et sa fibre
asiatique: il est à la fois à Attila le Hun et Yvan le Terrible. Et il n’a pas changé comme ses derniers
défenseurs aimeraient croire, il se laisse enfin voir tel qu’il est, peut-être parce qu’il va fêter ses 70
ans et tient à assurer son legs, peut-être parce qu’il est malade (figure enflée suggérant des
traitements lourds) ou tout simplement parce qu’il n’aura pas toujours l’aubaine d’un Biden en face
de lui.
Si l’Occident peut retrouver ses sens à temps, il ne faut rien céder à Poutine. Il doit
rendre tout ce qu’il a indûment acquis, la Crimée, les mers, les provinces et être condamné aux
réparations pour les quelques 200 milliards de dollars de dégâts causés. Pour les souffrances
humaines et les crimes, il doit être jugé par un tribunal spécial. Pendant des décennies , il a
accusé l’OTAN de l’avoir encerclé, menacé, oppressé...l’accusant exactement de ce que lui fait à
ses voisins, qui ne sont pas ses vassaux mais des pays libérés de siècles de joug russe.
Il serait temps que l’OTAN donne quelque substance à cette propagande néo-
soviétique éculée
«Moi, je ne suis pas pour emmerder les Français. … Eh bien là, les
non-vaccinés, j'ai très envie de les emmerder» tonne Emmanuel Macron dans une interview au journal Le Parisien. «Et donc on va continuer de le faire, jusqu'au bout».
Le locataire de l'Élysée prétend qu' «En démocratie, le pire ennemi c'est le mensonge et la bêtise»,
comme si la désinformation touchait seulement "l'Autre" — dans ce cas-ci, les seuls
réfractaires au vaccin — et jamais (par le plus grand des hasards)
soi-même.
Une croyance populaire suggère que nous les sceptiques ne sommes autre que têtus, bornés et «irresponsables» voire égoïstes et que nous devons être considérés comme des Néanderthaux. Au contraire !
Nous
sommes — tous — ouverts d'esprit et, en fait, prêts à vous joindre, M. le Président.
(Si, si!)
1)
Pour ce faire, tout ce qu'il vous faut, c'est remplir une
seule condition (une, pas plus) : montrez-nous un seul article de fond
dans Le Monde, Le Figaro, Berlingske, The Economist, the Wall Street Journal,
the Washington Post ou the New York Times, où un journaliste
(présumément médical ou scientifique) compare le Coronavirus actuel aux
pandémies de 2009 et de 2002 (voire à celles de 1968 et 1957) et où il
explique (preuves à l'appui) toutes les raisons pour lesquelles le
COVID-19 serait bien pire que les épidémies d'antan.
Dans ce cas,
nous vous joindrons immédiatement, vous les férus du mélodrame, dans
votre désir • de faire porter des masques antihygièniques ; • d'exiger un pass
liberticide ; et • de ruiner
des centaines de milliers de citoyens et de commerçants.
Avertissement : cette requête des plus simples, M. le Président, est
un piège. Car l'article n'existe pas ; l'article n'a jamais été écrit…
(Vu que les effets du Covid-19 ont été exagérés — le mot est faible — par
une période de hystérie collective…)
Ça ne veut pas dire qu'un
tel article n'a jamais été commandité par un rédacteur-en-chef. Au
contraire ! Qui sait combien de fois un éditeur a demandé à son équipe
de journalistes médicaux de prendre le taureau par les cornes afin de
mettre fin, une fois pour toutes, au sceptisme des Néanderthaux ?
Si cet article existait, on peut être certain que — à part que le(s) journaliste(s) serai(en)t candidat(s) pour le Pulitzer Prize — il serait cité tous les jours (avec raison!) par les pro-vaccinations et les pro-confinement.
Seulement, comme le produit terminé n'a pas dû montrer une très grande
différence avec les pandémies d'antan — et donc n'a nullement montré la
nécessité de suivre les férus du mélodrame (comprenant les éditeurs
mêmes des rédactions de tous les pays) dans leurs efforts hystériques de
détruire la société civile ainsi que l'économie de leur pays et du
monde occidental — au lieu d'avouer leurs erreurs, les rédacteurs ont
préféré tranquillement reléguer ces articles dans le tiroir poussièreux d'un bureau désaffecté…
Une étude approfondie dudit Coronavirus — et des
diverses réactions des gouvernements du monde entier — ne peut aboutir
qu'aux huit points majeurs suivants, que je considère comme concluants
et définitifs. Nous avons déjà vu le premier point. Procédons aux suivants…
2) La question primordiale en ce qui concerne le Covid-19, c'est : A) si nous faisons face à l'une des redoutables pandémies historiques, telles que la grippe espagnole de 1918, la Mort Noire du Moyen Âge, la peste antonine de l'Empire romain, ou la peste qui ravagea Athènes en 430 av. J-Chr. ; ou B) si nous avons affaire à l'une des épidémies régulières, telles celles de 2009, de 2002, de 1968, de1957, et de 1889 — qui, étant plus communes, serait l'explication la plus logique (et
qui semblent par ailleurs provenir pour la plupart, sinon toutes, de la
Chine ou du moins d'Asie) — où aucune intervention gouvernementale n'a été prise et qui se
sont terminées dû au fait que les populations diverses ont acquis
l'immunité, ce qui est précisément arrivé grâce au fait que… aucune intervention
gouvernementale n'a été prise (dans ce cas, s'abstenir d'intervenir
équivaut presque à une vaccination, ce qui suggère par ailleurs que
porter des masques n'est rien sinon contre-productif).
C'est ici qu'intervient une partie de la population, surtout les politiciens, les bureaucrates et les autres élites, qui affirment le besoin d'agir, la nécessité de se restreindre, l'obligation de porter des masques.
3)
Le seul et unique problème avec cette attitude, c'est qu'il n'y a rien
qui porte à penser que le virus de Wuhan est pire que, voire différent de,
l'une des épidémies normales. Mis à part le fait qu'il s'avère que les
statistiques que nous recevions au début de l'année 2020 ("457 espagnols
morts au cours des dernières 24 heures", "le seuil de mortalité en
Italie a maintenant atteint 34.000 âmes", etc) s'appliquaient surtout
aux personnes âgés, faibles et malades dans les maisons de retraite
(voir le point 4), ces bulletins dramatiques ont complètement disparu — remplacés par des annonces apocalyptiques qu'il y a des milliers de nouveaux cas de personnes infectées ; personnes infectées qui seront sur pied d'ici deux à trois semaines (voir le point 6)…
Aux USA, l'âge moyen des morts du virus chinois est de 78 ans ; en Israel, de 79 ans ; au Royaume-Uni, au Danemark et enSuède (lequel pays nous allons revoir plus bas), ainsi qu'en France, de 82 ans.
Depuis le début, les chiffres sont empirés par la présence d'autres maladies
(avant tout, les maladies cardiaques, l'obésité, et le diabète), pour ne pas parler de la simple mort de vieillesse.
C'est seulement dans de très rares cas que le corona est plus dangereux que de faire une ballade en voiture.
il s'avère qu'il n'y a pas beaucoup de différence entre la grippe et le COVID-19, sauf que ce dernier tue moins de jeunes.
Si nous décidons simplement de maintenir des procédures sensées et des principes de précaution par rapport aux soins gériatriques et dans les hôpitaux, n'aurons-nous pas fait des grands progrès dans la lutte contre l'épidémie ?
4) Dans cette perspective, vous souvenez-vous de l'histoire de Sherlock Holmes concernant le chien qui n'a pas
aboyé au cours de la nuit ? Les Fake News, ce n'est d'habitude pas les
mensonges outrancières, ce sont les férus de mélodrame professionnels
dans les médias qui s'abstiennent de faire des reportages sur
certains types de nouvelles (ou qui les minimisent le plus possible) —
notamment les infos qui seraient… positives (plus de détails dans le point 8).
Cher lecteur, pensez aux films de zombies de Hollywood et réfléchissez :
Durant ces deux dernières années, y a-t'il eu un seul pays, une seule
ville, où l'on a pu voir des morts dans les rues, et s'horrifier devant
des douzaines, des centaines, de corps qui pourrissaient sur les trottoirs ? A-t'on vu un
seul train, une seule rame de métro où il était fréquent de voir un
malade du virus râler comme un démon, tituber, et finir par s'écrouler
avant d'entrer en convulsions et de vomir ses entrailles (noires) ? Non,
n'est-ce pas ?
5)
En d'autres mots, la majorité des infectés étaient, et sont, déjà dans
les hospices, et si d'autres commencent à se sentir mal, ceux-là peuvent
choisir d'eux-mêmes de s'isoler (d'entrer en auto-quarantaine, si on
veut) ou, si nécessaire, se diriger vers un hôpital (voir le point 6).
Accessoirement, ceci est basé sur un concept révolutionnaire : que
l'adulte moyen est de fait un être responsable sans grand besoin pour
des bureaucrates, des politiciens et/ou un monarque, et sur lequel on
peut (si, si) compter pour se comporter avec un minimum de maturité. (Ça s'appelle : être un… citoyen.)
6)
Maintenant, le monde fait face à une enième vague du virus chinois
(nous allons y revenir), mais les seuls bulletins d'infos que nous
recevons, c'est de l'ordre de "1000 nouvelles hospitalisations en France
depuis une semaine" ou "558 danois de plus ont attrapé le coronavirus ;
deux nouveaux décès." Et pourtant, ces informations continuent à nous faire peur (ou, du moins, nos politiciens) autant qu'avec les bulletins dramatiques de morts au tout début de la pandémie (!) ; et elles continuent de créer autant d'hystérie de masse.
Le
mot quarantaine signifie une période d'internement de 40 jours (et pas
un jour de plus). Deux ans après le début de la pandémie, il convient
de savoir que jamais dans la langue française n'ont existé des mots ou
des expressions tels que centquarantaine (140 jours), ou septcenttrentaine (730 jours)… Et, de toutes les façons, le confinement s'adresse traditionellement aux seuls individus infectés, non pas aux gens en bonne santé…
7)
Aujourd'hui, en effet, pour la vaste majorité des infectés, souffrir du virus ne
signifie rien de plus que deux ou trois semaines maximum en quarantaine
chez soi (de fait, trois semaines d'internement équivaut à la moitié de la "quarantaine" de jours préscrits, donc on peut conclure que, dans leur sagesse, nos
ancêtres ont péché par excès de prudence), expérience qu'ont vécu — si tel est le mot — des gens
aussi variés que Tom Hanks, Madonna, Antonio Banderas, GretaThunberg, Plácido Domingo, Silvio Berlusconi, Emmanuel Macron, Donald Trump, RandPaul, le Prince
Charles, la reine Elizabeth, et
le Prince Albert de Monaco (en ce qui concerne Boris
Johnson, une visite à l'hôpital), ainsi que moi-même, après quoi les gens ont retrouvé, et retrouvent, la santé.
Cela suggère, encore une fois, que le citoyen moyen (en
tout cas, que l'Occidental moyen) est quelqu'un qui se comporte de façon
responsable et qui fait exactement ce qu'il ferait s'il était infecté
durant l'une des précédentes épidémies régulières, s'il souffrait d'une
grippe ordinaire, ou s'il attrapait une maladie quelle qu'elle soit — y
compris un rhume des plus banaux.
De fait, si le taux de
survie du virus est aujourd'hui près de 100%, on est en droit de se
demander : à quoi bon tout ce remue-ménage pour chercher un vaccin et pour nuire aux petites et moyennes entreprises ?
8) Ce n'est pas compliqué : ou les masques et le confinement sont utiles et fonctionnent, et dans ce cas il devrait y avoir énormément de gens infectés et de décès en Suède, pays qui n'a aucunement voté des lois sur les masques, sur le confinement ou sur la fermeture (et l'appauvrissement et la ruine) des PME.
Ou alors, si la Suède n'a pas plus de victimes que le reste de l'Europe — et (tenez-vous bien) c'est effectivement le cas — et alors cela veut dire que la politique du Covid des 26 autres membres de l'Union européenne a été, et est, injustifiée.
Aux USA, de la même façon, les États qui n'ont pas imposé masques et confinement devraient avoir beaucoup plus d'hospitalisations et d'enterrements que les états radicaux comme la Californie et le Michigan.
Si les médias pouvaient prouver que la Suède, la Floride, ou le Texas avaient un taux excessivement supérieur de cas, ce serait un effroyable scandale — avec moult articles à la Une. Mais comme les statistiques ne leur donnent pas raison, ils restent silencieux. Comme Sherlock Holmes l'a dit au Docteur Watson, rappelez-vous, ce qui compte c'est que le chien n'a pas aboyé.
Les dernières — et sans doute les plus grosses — pièces du puzzle sont toutes les deux arrivées récemment. D'abord, lorsque le Wall Street Journal a révélé juste avant Noël 2021 que les "experts" de Washington avaient conspiré avec les médias américaines pour faire taire — littéralement — des milliers de médecins et de scientifiques (entre autres de Harvard, Oxford et
Stanford, pour ne pas mentionner Morten Petersen), justement ces professionnels qui se sont opposés aux fermetures pandémiques générales en faveur de "protections ciblées" des populations à haut risque comme les personnes âgées ou celles affichant de graves problèmes de santé:
In public,
Anthony Fauci
and
Francis Collins
urge Americans to “follow the science.” In private, the two
sainted public-health officials schemed to quash dissenting views from
top scientists.
… the Great Barrington Declaration,
a statement by Harvard’s
Martin Kulldorff,
Oxford’s Sunetra Gupta and Stanford’s
Jay Bhattacharya
against blanket pandemic lockdowns. They favored a policy of what
they called “focused protection” of high-risk populations such as the
elderly or those with medical conditions. Thousands of scientists signed
the declaration—if they were able to learn about it
…The [recently revealed] emails suggest a feedback loop: The media cited Dr. Fauci as an
unquestionable authority, and Dr. Fauci got his talking points from the
media.
Facebook
censored mentions of the Great Barrington Declaration. This is how groupthink works.
La seconde nouvelle explosive (bombshell en anglais) arrive en janvier 2022 lorsque la directrice des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) a déclaré que "le nombre écrasant des décès, plus de 75%, est survenu chez des personnes qui avaient au moins quatre comorbidités." Et à la Dr. Rochelle Walensky de conclure, "Donc, vraiment, ce sont des gens qui étaient souffrants au départ."
“The overwhelming number of deaths, over 75%, occurred in people who had at least four comorbidities. So, really, these are people who were unwell to begin with.”
Toute la politique de nos gouvernements depuis deux ans s'effondre. Nous avons ici la définition de Fake News par excellence : Non pas que les journalistes écrivent des infos erronées (délibérément ou non), non pas qu'ils mentent effrontément, mais qu'ils évitent d'écrire la vérité, ou toute la vérité. Pour le dire d'une autre façon, les férus du mélodrame cachent les détails, ainsi que les experts qui pourraient prouver ou tout du moins indiquer qu'il n'y a nulle raison de paniquer et peut-être de bonnes raisons de rester — ici, je vais employer mon mot favori dans la langue française — peinard.
Et si le lecteur a été attentif, il réalisera qu'avec ces huit remarques, nous avons accompli un boucle, un boucle qui nous ramène au tout premier point.
CONCLUSION :
En d'autres termes, il est on ne peut plus clair que A) le virus chinois n'est pas, et n'a jamais été, différent de manière significative de l'une des autres épidémies ; que B) tout indique Emmanuel Macron et les gouvernements du monde ont gaspillé des millions d'euros et de dollars sur des mélodrames inutules avec comme seul résultat la déstruction d'une grande partie de l'économie occidentale (de fait, force est de reconnaître que c'était peut-être l'objectif désiré) ; et que C) nous sommes au milieu soit d'une arnaque globale (nous allons y
revenir) soit d'une manifestation de hystérie collective, soit d'une
combinaison des deux.
Dans cette perspective, invitons les
politiciens et les bureaucrates de tous les pays occidentaux de cesser
immédiatement d'exiger de leurs citoyens respectifs de s'habiller comme
des clowns ; et, surtout, invitons ces politiciens et ces bureaucrates à
mettre un terme immédiat à la déstruction de leurs économies
respectives.
Pour conclure : Offrez
aux personnes âgées et à celles dont le système immunitaire est
affaibli, la possibilité d'une mise en quarantaine (chez soi ou dans un
centre hospitalier) et, en ce qui concerne le reste de la population, brisez leurs chaînes. Une fois pour toutes !
POST-SCRIPTUM :
Une
note finale sur la seconde vague de Covid-19, celle de l'été 2020 — qui s'est produite, par
le plus étrange des hasards et par la plus bizarre des coïncidences,
suite à la décision en mai 2020 des démocrates américains et du reste des
prétendus "experts de la santé" du monde entier, de faire brusquement un
virage à 180° en ce qui concerne les masques, la distanciation sociale
et le confinement (le tout, rappelez-vous, pour la sécurité de la santé des
citoyens), et suite à leur décision que les foules gigantesques
s'engageant dans des manifestations de masse — en plus des émeutes, des
incendies criminelles, des pillages et des renversements de statues —
étaient soudainement permises, voire encouragées, si seulement ils
s'intégraient dans la lutte héroïque contre le racisme, réel ou présumé.
(Oui, vous avez raison, ce sont ces mêmes politiciens qui avaient
adopté des règles pour arrêter un pagayeur solitaire au large de la côte de Malibu ou qui avaient ordonné aux hélicoptères de la gendarmerie de survoler les Vosges afin d'infliger des amendes aux randonneurs isolés…)
Il
y a une théorie selon laquelle la réponse hystérique au virus de Wuhan
(ainsi que "les manifestations à 180°") n'était en réalité autre chose
qu'un plan clandestin plus ou moins réfléchi et élaboré des démocrates
américains en compagnie du reste des politiciens du monde — dont peu,
voire aucun d'entre eux, font eux-mêmes des sacrifices (y a-t'il un seul qui ne
continue pas à percevoir son salaire?) — pour affaiblir les économies
des États-Unis et de tout l'Occident afin de vaincre Donald Trump à l'élection présidentielle de novembre 2020.
Peu
importe, cher lecteur, ce que vous ressentez, à juste titre ou non, à
propos du 45ème président des USA ; je vous pose la question suivante : le chef
d'un seul pays, fût-il une superpuissance ou non, est-il un tel danger
pour l'Amérique et pour le reste du monde que les gens ordinaires à
travers la planète, nos concitoyens, nos voisins et nos familles doivent
accepter les récessions, les faillites et les nombreux autres types de
sacrifice — en plus des émeutes et des pillages — afin de faire tomber
ledit chef ?
Dans ce cas, j'ai ce que je crois être une
suggestion vraiment extraordinaire à faire (et je pense que cela
s'applique si vous êtes citoyen américain, citoyen français ou citoyen
de tout autre pays):
En tant que citoyen à qui l'on n'a jamais
demandé (avant une élection ou à tout autre moment) si j'acceptais les
politiques furtives de nos politiciens (aux États-Unis, ils ne sont pas
appelés "nos dirigeants" mais "nos serviteurs") détruisant, directement
ou indirectement, l'économie, nos entreprises et nos statues — et
s'engageant dans la création d'un appauvrissement de masse au sein de
notre peuple, de nos voisins et de nos familles — je dirais que les
élites en Amérique (cf. les dirigeants du parti démocrate), en France et
ailleurs en Europe pourraient ne pas être tout aussi horribles que le
serait prétendument Donald Trump, ils pourraient en fait être bien
pires.
Un an après l’attaque
du Capitole, le parti Démocrate fait feu de tout bois pour accabler
Trump et le camp républicain. Pourtant, les dégâts générés par les
antifas ou le mouvement Black Lives Matter – soutenu par de nombreux
démocrates – sont bien plus importants.
Il y a un an, le grand rassemblement de Donald Trump du 6 janvier 2021
se terminait par l’attaque et la profanation du Capitole, au cœur de la
capitale américaine. Nous avons tous vu dans les médias les images
effrayantes et scandaleuses de cet événement. Ce jour a choqué tout le
pays, mais je peux dire en tant que Républicain que le choc était
particulièrement brutal pour les Républicains. C’est la dernière chose
que les partisans de Trump voulaient voir. Les auteurs de ces violences
devraient en porter la pleine responsabilité et être punis avec toute la
force de la loi. Je n’ai pas entendu un seul politicien républicain, un
seul commentateur politique républicain ou un seul Républicain patriote
soutenir la violation de la capitale. Ces actes de violence sont
contraires aux principes de protestation pacifique adoptés par les
Républicains et le mouvement MAGA. Par conséquent, les Républicains sont
amenés à remettre en question le récit médiatique des événements et de
leurs conséquences pour la politique aux États-Unis.
La gauche du Parti démocrate et les médias qui la soutiennent ne
cessent de qualifier l’intrusion dans le Capitole d’« insurrection », de
tentative de « coup d’État » par de violents terroristes domestiques,
autrement dit des suprémacistes blancs supporteurs de Trump. Ils parlent
de la plus grande attaque contre notre démocratie depuis la guerre de
Sécession, pire que Pearl Harbor ou que le 11 septembre (une insulte aux
3000 personnes qui ont perdu la vie dans les deux tours). Et ils
accusent Donald Trump lui-même de l’avoir incitée et soutenue.
Il ne s’agit
pas de minimiser l’inacceptable effraction violente du Capitole mais de
souligner l’hypocrisie flagrante de la gauche, ses mensonges odieux et
ses exagérations à propos du 6 janvier
Mais si cette rhétorique hystérique et hyperbolique était vraie,
pourquoi la gauche a-t-elle jugé nécessaire de mentir autant sur ce qui
s’est passé ou ne s’est pas passé ? Oui, Trump a tenu un meeting à
proximité du Capitole le 6 janvier avec des milliers de partisans, alors
que la session conjointe du Congrès était prête à confirmer les
résultats de l’élection. L’objectif de ce rassemblement était de
convaincre les Républicains du Congrès de se joindre aux Républicains
qui avaient prévu de contester la certification des résultats dans
certains États qui étaient potentiellement basés sur des votes
frauduleux. Cela permettrait de forcer au moins une discussion et un
débat au sein du Congrès, ce qui est légal selon la Constitution.
Ce que les médias ne vous diront pas, c’est que de nombreux Démocrates
ont également contesté les résultats des élections présidentielles
passées, y compris celle de 2016 où Trump a battu Hillary Clinton.
L’opposition des Démocrates étaient basée sur les accusations – que l’on
sait maintenant fausses – selon lesquelles Trump aurait volé
l’élection grâce à une prétendue connivence avec la Russie. Un mensonge
que les Démocrates ont maintenu pendant toute la présidence de Trump et
jusqu’à aujourd’hui. L’objectif de Trump était donc simplement de
montrer aux Républicains du Congrès combien il était soutenu par le
peuple américain. Toute violence visant à perturber le processus du 6
janvier ne servait pas du tout ses intérêts. Il est prouvé que Trump a
appelé ses partisans à marcher « pacifiquement et patriotiquement » vers
le Capitole. Pourtant, il y a eu des violences qui ont bien perturbé le
processus. Après que Trump a demandé à tous les émeutiers de quitter le
Capitole et que les sénateurs et les membres du Congrès sont revenus,
ces derniers ont immédiatement demandé une certification des votes de
tous les États, sans discussion. Biden a été confirmé.
Comme la plupart des Républicains, je suis de l’avis que Trump n’est pas
intervenu assez rapidement et avec assez de force, pour demander aux
émeutiers de cesser. Mais ses détracteurs vont jusqu’à répandre un
mensonge à ce sujet. Liz Cheney, représentante républicaine pour le
Wyoming, opposée à Trump, est la vice-présidente de la commission
d’enquête sur les événements du 6 janvier. La fille de Dick Cheney prétend que Trump est
resté sans faire de déclaration pendant 187 minutes (plus de trois
heures), tandis que les événements se déroulaient au Capitole. Les
médias ne vous diront pas que c’est un mensonge et que les faits le
prouvent. La chronologie des événements montre clairement que la
première déclaration de Trump enjoignant à ses supporteurs de « rester
pacifique et soutenir notre police », a été faite sur Twitter 23 minutes
après l’effraction initiale. Il a envoyé un deuxième tweet 35 minutes
plus tard. Après une heure, il a envoyé un message vidéo demandant à
tout le monde de partir. Cela fait deux déclarations et un message vidéo
en deux heures.
Pas un renversement de gouvernement, plutôt une protestation désorganisée
Les médias vous ont dit que des milliers de Républicains armés et
organisés ont envahi le Capitole pour tuer des politiciens et renverser
le gouvernement. Les médias ne vous diront pas qu’il s’agissait en fait
de centaines de patriotes frustrés qui sont entrés bêtement dans le
Capitole, en suivant un groupe d’instigateurs violents. Aucun des
manifestants n’a été trouvé avec une arme à feu sur sa personne. De
nombreux témoins disent même que certains policiers auraient ouvert les
portes de l’intérieur pour laisser entrer les manifestants, comme on
peut le voir dans de nombreuses vidéos où la police escortait en fait
les manifestants dans les couloirs.
Les médias vous ont ensuite dit que des émeutiers républicains avaient
provoqué la mort de cinq personnes. Ils vous ont dit que l’une de ces
cinq personnes était un agent de la police du Capitole qui a été attaqué
par la foule et battu à l’aide d’un extincteur. La vérité est sortie
bien plus tard : il n’y a jamais eu d’attaque avec un extincteur et le
policier est décédé le lendemain de causes naturelles, ce qui a été
confirmé par sa famille. Trois des quatre autres décès concernaient des
partisans de Trump qui sont également morts de causes naturelles, comme
des crises cardiaques. La cinquième et dernière personne était également
une partisane de Trump, la seule victime abattue ce jour-là, et par un
officier de police du Capitole. Une ancienne combattante de l’Armée de
l’air, elle s’appelait Ashli Babbitt. Elle n’était pas armée et était
vêtue d’un drapeau américain. Le policier n’a jamais été reconnu
coupable d’un crime et a été libéré. Très malavisés, les supporteurs Républicains qui ont décidé de suivre
les instigateurs du crime ont pris une mauvaise décision ; ils
n’auraient pas dû se trouver à l’intérieur du Capitole, mais ils
n’essayaient pas de renverser le gouvernement et Ashli Babbitt ne
méritait pas d’être abattue de sang-froid.
Les Américains ont besoin d'une enquête et de réponses honnêtes
Au cours de l’année écoulée, de nombreuses enquêtes (principalement
menées par des Républicains), accompagnées de vidéos et de déclarations
de témoins ont maintenu que certains des principaux instigateurs (pas
tous) étaient des imposteurs anti-Trump qui se faisaient passer pour des
supporters MAGA. Les vidéos en question sont facilement accessibles sur
des sites web de droite. Apparemment, les instigateurs filmés
n’auraient jamais été arrêtés par le FBI. Je n’affirme pas qu’il
s’agissait d’imposteurs anti-Trump, mais le peuple américain mérite des
réponses aux questions suivantes : qui étaient vraiment les instigateurs
de l’effraction ; pourquoi a-t-on dit aux policiers de se retirer et de
ne pas l’empêcher ; et pourquoi la Garde Nationale n’était-elle pas en
place pour soutenir la police ? Toute personne qui soulève ces
questions est immédiatement dénoncée comme un dangereux complotiste
d’extrême droite.
725 arrestations, aucune pour insurrection, pour sédition ou pour terrorisme
Selon le site officiel du ministère de la Justice (DOJ), 725
personnes ont été arrêtées et inculpées dans le cadre de l’effraction du
Capitole. Cela a nécessité une chasse à l’homme massive dans les 50
États par le FBI, car une attaque contre un bâtiment fédéral est
considérée comme un crime fédéral. Alors que plus de 600 personnes ont
été accusées de simple intrusion, selon le site Web du DOJ,
« au
moins 225 prévenus ont également été accusés d’agression, de résistance
ou d’entrave à des officiers des forces de l’ordre, environ 10 personnes
ont été arrêtées pour avoir agressé un membre des médias ou détruit
leur équipement, et au moins 275 prévenus ont été accusés d’obstruction,
ou de tentative d’obstruction, d’une procédure officielle dans une
intention malicieuse. »
Un petit détail : pas une seule personne n’a été accusée de sédition,
d’avoir cherché à renverser le gouvernement ! À ce jour, seuls 70
prévenus ont été condamnés à des peines d’un maximum de cinq ans. Les
accusations les plus graves d’obstruction sont passibles de peines
maximales allant jusqu’à 20 ans de prison.
Conditions de détention anti-américaines qui rappellent le "goulag"
Environ
80 autres accusés sont détenus dans une prison "temporaire" à
Washington dans l'attente de leur procès, et beaucoup y sont depuis
près d'un an. Les médias ne vous diront pas de quelle façon ils sont traités.
Il est rapporté que cette prison est extrêmement mal entretenue. Des
politiciens républicains ont récemment insisté pour les voir et, après de nombreux refus, ont
finalement été admis. Ils ont qualifié les conditions des prisonniers de scandaleuses. "Ils ont été battus par les
gardiens", a
déclaré la représentante Marjorie Taylor Greene, Républicaine de Géorgie, le 7 décembre. "Ils sont traités de suprématistes blancs. On leur refuse les
services religieux, les coupes de cheveux, le rasage et la possibilité
de se couper les ongles. Ils n'ont pas le droit de passer du temps avec
leurs avocats, ils n'ont même pas le droit de voir leurs familles et de
recevoir la visite de leurs familles. On leur refuse la liberté sous
caution et ils sont détenus sans caution. Beaucoup de ces personnes
n'ont jamais été accusées d'un crime auparavant. Certains d'entre eux
sont des anciens combattants. Et leur traitement est incroyable."
Aucune comparaison avec les dégâts et les décès provoqués par les Black Lives Matter et les Antifa en 2020
Suite à l’attaque du Capitole, il y aura des centaines de procès en 2022
et certainement jusqu’en 2024. Pourtant, les trois mois d’émeutes en
2020 provoquées par Black Lives Matter et les antifa ont vu commettre
des crimes comparables et même pires, mais leurs auteurs ont souvent été
libérés sous caution grâce à des fonds auxquels des politiciens
démocrates ont contribué, y compris la vice-présidente, Kamala Harris.
Pendant trois mois, BLM et les antifa sont à l’origine de près de 570
émeutes violentes, dans 220 lieux aux États-Unis, provoquant la mort de
plus de 30 citoyens américains dont au moins un policier en retraite et
blessant plus que 2000 autres agents.
En termes de dommages matériels,
le Capitole a vu 1,5 million de dollars de dégâts, tandis que les
émeutes BLM/antifa sont responsables de dégâts valant 2 milliards de
dollars (les émeutes les plus coûteuses de l’histoire des États-Unis,
selon une étude de l’université de Princeton). Parmi ces émeutes
BLM/antifa, une attaque soutenue de quatre mois contre un bâtiment
fédéral à Portland, dans l’Oregon. Le palais de justice fédéral a été
incendié et endommagé. Comme l’attaque du Capitole, ne s’agit-il pas
d’un crime fédéral ? Lorsque le gouverneur démocrate a finalement
autorisé Trump à envoyer la Garde nationale, les émeutiers ont tenté de
mettre le feu au bâtiment alors que la Garde était encore à l’intérieur.
Les politiciens démocrates ont critiqué la Garde nationale et l’ont
comparée aux « Sturmtruppen » nazis. Jamais, pendant les trois ou
quatre mois d’émeutes contre des Américains ordinaires et un tribunal
fédéral, les Démocrates n’ont dit que notre démocratie était attaquée.
Avec les médias qui les soutiennent, ils ont répété le mensonge selon
lequel il s’agissait principalement de « protestations pacifiques ». Il
ne s’agit pas de minimiser l’inacceptable effraction violente du
Capitole mais de souligner les deux poids deux mesures et l’hypocrisie flagrante de la gauche, ses
mensonges odieux et ses exagérations à propos du 6 janvier, non
seulement afin d'accuser Trump de terrorisme domestique mais aussi tous les
partisans de Trump.
Un comité politiquement biaisé s'apprête à dénoncer les Républicains comme des "insurgés"
Nous attendons donc maintenant le rapport de la commission spéciale de
la Chambre des représentants sur « l’insurrection » du 6 janvier,
dirigée par des démocrates. Comme la plupart des Américains, je serais
heureux de voir une enquête vraiment bipartisane, transparente et
approfondie sur les événements du 6 janvier. Malheureusement, dans le
contexte actuel de polarisation politique du Congrès, ce n’est pas
possible. La commission spéciale est orientée politiquement contre Trump
et les Républicains. Son verdict est prédéterminé, son objectif étant
de condamner Trump (une fois de plus) et d’essayer de le mettre en
prison.
Les preuves sont accablantes. Lorsque la commission a été constituée en juin 2021, la
présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, devait choisir
huit Démocrates et le leader de la minorité républicaine, Kevin
McCarthy, cinq Républicains. Lorsque McCarthy a soumis ses cinq noms,
Pelosi a pris la mesure sans précédent d’en refuser deux qui étaient des
partisans déclarés de Trump. Elle les a refusés pour avoir diffusé de
prétendues « fausses informations », car bien sûr, seule Nancy Pelosi
est l’arbitre de la vérité. En fait, elle a refusé tout Républicain qui,
selon elle, ne serait pas d’accord avec les conclusions des démocrates.
McCarthy a donc retiré les cinq républicains en signe de protestation en
disant qu’il ne voulait pas faire partie d’une commission politique
bidon. Pelosi a ensuite pris une autre mesure sans précédent en
demandant à deux Républicains notoirement anti-Trump, Lynn Cheney et
Adam Kinzinger, de rejoindre la commission, afin de pouvoir la qualifier
de « bipartisane ». Cheney et Kinzinger ont tous deux voté pour la
destitution de Trump. Ils ont naturellement accepté et la fille de Dick Cheney a même été
nommé vice-présidente. Tous deux ont été mis à l’écart par le Parti
républicain dans son ensemble et surtout dans leurs États respectifs.
McCarthy a promis de mener sa propre enquête en parallèle.
Malheureusement, il reste de nombreuses questions qui n’ont pas reçu de
réponses honnêtes et transparentes. Les démocrates continueront à
qualifier tous les partisans de Trump d’« insurrectionnels » pour tenter
de détourner l’attention générale des échecs de l’administration
Biden/Harris.
Les démocrates et les
républicains anti-Trump vont donc étirer cette imposture politique en la
faisant passer pour un comité bipartisan tout au long de l'année 2022
et au-delà, dans l’espèrent que cela les aidera lors des élections de
novembre 2022.
Mais aucune propagande politique, aucune commission bidon, aucun
mensonge médiatique ne pourra jamais masquer les dysfonctionnements
d’une telle administration.
Prenons des mesures pour
ne plus jamais permettre une atteinte à la capitale, pénalisons les
vrais responsables, et commençons à nous concentrer sur la réduction de
l'inflation, la protection de nos frontières, la réduction de la
criminalité ainsi que le soutien à notre police, la fin du COVID et le retour
au leadership mondial. Voilà une résolution pour la nouvelle année !