2021/07/06

Évelyne Joslain sur NTD : Est-ce que Dieu a lâché l'Amérique ?

 
Dans un entretien avec Ying Huang de New Tang Dynasty Télévision, Évelyne Joslain passe une heure à répondre à la question, Est-ce que Dieu a lâché l'Amérique ?
New Tang Dynasty Télévision est la plus grande chaîne internationale chinoise indépendante, basée à New York, qui diffuse ses programmes à plus de 100 millions de personnes dans le monde. En France NTD TV est accessible gratuitement sur les canaux suivants : Orange 548, FREE 799, SFR 921, Bouygues 802.

2021/05/13

Deux commémorations cette semaine : le 200ème anniversaire de la mort de Napoléon et le 40ème de l'élection de Mitterrand

 


Les Français ont commémoré deux évènements cette semaine : le 40ème anniversaire de l'élection de François Mitterrand et le 200ème annniversaire de la mort de Napoléon, l'empéreur dont la carrière est allé de la Corse à Waterloo et l'île de Sainte-Hélène… 

• Voir aussi : L’Etat mégalomane qui devient obèse —
à partir du 10 mai 1981, l’Etat socialiste se dote de tous les attributs d’un Etat voyou 

Mise à jour : Effectivement, le Conseil d’État justifie les crachats de la décadence contemporaine en défendant la "liberté d'expression" de France Inter d'affrimer que « Jésus est pédé »


2021/05/10

L’Etat mégalomane qui devient obèse : à partir du 10 mai 1981, l’Etat socialiste se dote de tous les attributs d’un Etat voyou


Il y a 40 ans, écrit Nicolas Lecaussin, naissait un Etat mégalomane, corrompu et destructeur :

 … le 10 mai 1981 intervient la « rupture avec le capitalisme » voulue par les socialistes français, dirigée par François Mitterrand. Alors qu’en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis, Thatcher et Reagan lancent des réformes libérales, Mitterrand applique à la France, avec les communistes, le Programme commun concocté par le « sherpa » Jacques Attali, qui étatise l’économie entière avec des conséquences dramatiques pour le pays et pour les Français.

Le socialisme mitterrandien : trois dévaluations, un million de chômeurs en plus et baisse du pouvoir d’achat

Les effets de cette nationalisation de l’économie se sont fait sentir dès le début de l’année 1982. De 1981 à 1984, le nombre de chômeurs réels a augmenté de près d’un million ; le franc a perdu 100 % de sa valeur par rapport au dollar et 50 % par rapport au mark. Jacques Delors, alors ministre de l’Economie, a été obligé de dévaluer trois fois notre monnaie. L’endettement extérieur de la France est monté à environ 80 Mds de dollars et, pour la première fois depuis la guerre, le pouvoir d’achat réel moyen a baissé.

Dans le domaine de l’éducation, le fameux rapport Legrand (1983) achève une funeste mission, celle de détruire l’école. En partant du postulat qu’un bon élève ne peut provenir que d’une catégorie sociale « privilégiée », il a été décidé d’instaurer l’égalitarisme dans les rangs « en rendant impossible la mise en évidence de la supériorité intellectuelle ». On en paye encore le prix. L’éducation nationale, malgré des budgets énormes, produit des générations de jeunes semi-illettrés condamnés au chômage longue durée.

L’arrivée de Mitterrand au pouvoir, c’est aussi, entre autres, les taxes sur l’essence et sur le téléphone, l’impôt sur les magnétoscopes instauré par M. Chevènement, à l’époque ministre de l’Industrie, ou bien les restrictions des voyages à l’étranger. Car, d’après Max Gallo, à l’époque porte-parole du gouvernement, « cette mesure ne gêne que les 16 % de la population qui ont les moyens d’en faire ». Quel mépris pour les Français, quelle incompréhension du monde ! Et quel manque de flair…

Magouilles, affaires, courtisans : Mitterrand se paye sur la bête, c’est-à-dire sur les Français

Mai 1981, c’est aussi l’Etat culturel de Jack Lang, l’argent public distribué à tout-va, la réforme Savary, l’étatisation complète de l’Université et de la recherche. C’est l’Etat mégalomane qui devient obèse : un million de fonctionnaires supplémentaires en trois ans. C’est la période des magouilles et des affaires. « A la confiscation politique du pouvoir, encore aggravée par rapport à l’égocentrisme gaullien, il [François Mitterrand] ajouta la confiscation financière de l’argent public et les profits mal acquis, dus à la corruption et à la plate délinquance, sous haute protection de l’Etat », écrit Jean-François Revel dans ses Mémoires.

Courtisans, prébendes, pratiques mafieuses, l’Etat socialiste se dote de tous les attributs d’un Etat voyou. Pour Revel, Mitterrand et ses acolytes « établirent et enfoncèrent dans les replis les plus intimes de la chose publique un régime de concupiscence, de dilapidation et de corruption, déshonneur de ces temps par ailleurs ‘’tellement infectés et souillés par l’adulation’’, comme dit Tacite (Tempora illa adeo infecta et adulatione sordida). Jamais président de la République française ne se vautra avec autant de placide vulgarité et de tranquillité goulue que [Tonton] dans les avantages et commodités de sa fonction pour ses plaisirs personnels et ceux de ses parasites, flatteurs et courtisans. »

 … La France « fête » le 10 mai une période très sombre de son histoire dont elle subit encore les méfaits. Et que beaucoup continuent d’encenser. Les socialistes français restent sous l’emprise du marxisme économique dogmatique. Le nez dans l’évidence, ils la nient toujours. Les faits ne mentent jamais. C’est ce que Mitterrand et les socialistes n’ont jamais voulu savoir.

2021/04/03

Après avoir permis au gouvernement de créer un précédent en assignant de facto toute la population à résidence sur un coup de tête, attendez-vous à ce que cette politique soit répétée encore et encore avec des justifications différentes qui n’ont rien à voir avec le COVID-19


Lord Sumption … a … fait valoir que les gouvernements utilisent le virus à des fins politiques, notant : 

« Ils ont constamment essayé de maintenir que le virus est sans discrimination alors qu’il est parfaitement bien établi qu’il affecte principalement les personnes présentant des vulnérabilités identifiables, en particulier les personnes âgées. » 

Tandis qu'un ancien juge de la Cour Suprême au Royaume-Uni prévient que les personnes pourraient être contraintes de porter des masques et de rester à la maison pendant des années, sur Riposte Laïque, n'y va pas de main morte (merci à EJ) :

Je suis loin de partager toutes les analyses d’Éric Montana, mais je dois avouer que son dernier article sur la crise sanitaire résume parfaitement le machiavélisme de Macron, qui a enfourché la crise du Covid de la façon la plus diabolique qui soit, pour en finir avec celle des Gilets jaunes.

Montana cite Christophe Barbier, pourtant habituellement peu critique à l’égard de Macron, qui déclare que “L’angoisse a été organisée par l’administration et le pouvoir politique pour que les gens se tiennent à carreau. Et cela a marché !”

Pour Montana, les défilés chantants n’ayant produit depuis deux ans que des blessés et des éborgnés, sans obtenir la moindre conquête sociale, c’est plutôt une insurrection qui se profile à l’horizon.

Oui, le pouvoir manipule bien le peuple en faisant durer cette pandémie par refus de la traiter.

N’importe quel généraliste sait très bien qu’un simple traitement de 48 heures, prescrit dès les premiers symptômes, évite dans 99 % des cas une entrée à l’hôpital.

Mais Macron et ses sbires préfèrent faire passer les plus grands virologues et infectiologues mondialement reconnus pour de dangereux charlatans.

Oui, nous sommes bien soumis à une dictature qui interdit aux médecins de soigner, au mépris le plus total du serment d’Hippocrate. 

Sondages truqués, qui prétendent que le peuple adhère à la politique démentielle menée par l’exécutif.

Car en réalité, jamais un Président n’a été aussi impopulaire que Macron. Le désastre électoral de la Macronie lors des municipales en est la preuve. Et c’est pour cette raison que les régionales seront repoussées, afin d’éviter une seconde débâcle au camp présidentiel.

Nous sommes abreuvés de mensonges par des médias aux ordres, qui appartiennent tous aux puissants qui ont propulsé Macron à l’Élysée.

C’est l’apothéose dans la désinformation. Plus personne ne croit à la parole politique, ni à celle de la presse.

Un sondage de 2020 montrait que 91 % des Français ne faisaient plus confiance au gouvernement. Mieux vaut donc publier des sondages truqués avec des instituts acquis à Macron !

Mais quand un dictateur, soutenu par le grand patronat et la haute finance, dispose en outre de la presse et de la justice acquises à sa cause, il peut tout se permettre. On l’a vu avec la scandaleuse affaire Benalla !

On ne soulignera jamais assez l’odieuse diabolisation orchestrée à l’encontre des Prs Raoult, Péronne, Toussaint et bien d’autres.

On ne soulignera jamais assez les conflits d’intérêts entre certains médecins macronistes et les labos.

Oui, le pouvoir nous a imposé sa dictature criminelle en refusant de soigner les patients.

Oui, le fait d’euthanasier nos vieux, parfois interdits d’hôpital faute de place, fut bien un crime contre l’humanité.

Oui, nos vieux sont morts dans l’abandon le plus total, sans leur famille et enterrés dans l’anonymat.

Oui, Monsieur Montana, tout cela fut bel et bien dégueulasse et s’il y a encore une justice dans ce pays, les responsables de cette politique d’épouvante devront en payer le prix fort. Aucun crime ne peut rester impuni.

Les plaintes pour homicide volontaire s’accumulent. Nous verrons combien seront prises en compte dans ce pays qui a perdu, durant des mois, toute trace d’humanité.

En attendant, nous approchons des 100 000 morts, alors que les traitements existent et que les médecins les plus courageux les prescrivent.

Certains ont déjà sauvé des centaines de patients, guéris en 48 heures.

Combien de morts aurions-nous pu éviter avec le protocole Raoult ? 50 000 ? davantage ?

C’est donc bien à une boucherie qu’a conduit la politique diabolique de Macron, en interdisant aux médecins de soigner. Un crime de masse orchestré par l’État, ni plus ni moins. Et ce n’est pas fini.

? davantage ?

C’est donc bien à une boucherie qu’a conduit la politique diabolique de Macron, en interdisant aux médecins de soigner. Un crime de masse orchestré par l’État, ni plus ni moins. Et ce n’est pas fini.

L'Anguille sous Roche ajoute que 

Après avoir permis au gouvernement de créer un précédent en assignant de facto toute la population à résidence sur un coup de tête, attendez-vous à ce que cette politique soit répétée encore et encore avec des justifications différentes qui n’ont rien à voir avec le COVID-19.

Comme nous l’avons souligné précédemment, l’une de ces justifications sera le réchauffement climatique causé par l’homme, et les assignations à résidence devraient devenir une réalité régulière.

2021/01/20

Dans leur très grande majorité, les journalistes, correspondants ou experts se sont comportés plus comme des militants anti-Trump que comme des analystes neutres et lucides


Au moment du changement d’administration à Washington, il est temps de faire un rapide bilan de la présidence Trump
écrit Nicolas Lecaussin.
Beaucoup a été dit et écrit, très rarement avec justesse. Dans leur très grande majorité, les journalistes, correspondants aux Etats-Unis ou experts se sont comportés plus comme des militants anti-Trump que comme des analystes neutres et lucides …

Pendant quatre ans, son élection a été contestée par les Démocrates et la plupart médias

 … La victoire en novembre 2016 a été suivie d’un déferlement de critiques et de haine de la part des grands médias américains – The New York Times, Washington Post, CNN – qui ont d’abord annoncé l’instauration de la dictature fasciste en Amérique et, par la suite, n’ont eu de cesse de rendre Trump coupable de tout ce qui était négatif dans le pays. De leur côté, les Démocrates ont inventé l‘affaire de la collusion russe en soutenant que sa victoire était due à une intervention étrangère, en l’occurrence, russe. On l’a oublié aujourd’hui, mais les Démocrates ont toujours contesté son élection et, on le sait maintenant, cette affaire a été inventée lors d’une réunion dans le bureau ovale en présence d’Obama, de Biden, de Hillary Clinton et de certains responsables du FBI qui ont été dupés. La justice enquête, il faut espérer que les coupables soient démasqués. Les mêmes Démocrates n’ont pas hésité à lancer une procédure d’impeachment contre lui avec des arguments basés sur un témoignage anonyme et un coup de fil au président ukrainien qui ne tenaient pas debout, comme l’avait écrit dès le début le Wall Street Journal. Ironie de l’Histoire, les éléments fournis par le portable du fils Biden pourraient constituer des preuves beaucoup plus solides contre le président Joe Biden…

Les plus importantes déréglementations et réformes fiscales depuis l’époque Reagan

L’Amérique sous Trump, non seulement n’est pas devenue une dictature fasciste, mais a eu droit aux plus importantes réformes économiques et fiscales depuis Reagan qui avait mis trois ans pour réformer la fiscalité. Trump l’a fait en quelques semaines. Son programme « Jobs Act et Tax Cut » de 2017 prévoit, entre autres, la baisse de l’IS de 35 à 21 %, l’institution d’une taxe de 15% sur les profits réalisés à l’étranger, la réduction des niches fiscales et la suppression de la moitié des pages du Code des réglementations. Nous n’allons pas revenir en détail sur ces mesures, nous l’avons déjà fait plusieurs fois dans nos articles disponibles sur le site de l’IREF. Les déréglementations faites durant ces années ont été historiques et ont permis l’assouplissement de la finance américaine, l’envol énergétique du pays avec le pétrole et le gaz de schiste, l’essor des génériques et la baisse des prix des médicaments, et ont donné encore plus de libertés aux entrepreneurs américains. L’économie américaine ne s’est donc pas écroulée, comme l’avait très mal prévu le prix Nobel Paul Krugman. Elle a fait un véritable bon en avant à partir de 2018 et jusqu’au début de la pandémie en mars 2020. Bien sûr, les détracteurs de Trump ont affirmé qu’il ne s’agissait que d’une continuité après la période « faste » d’Obama. Sauf que l’économie avait ralenti en 2014 et 2015 et que Trump a cassé les mesures prises par Obama, surtout en ce qui concerne la fiscalité et les réglementations environnementales.

La taux de pauvreté chute et le revenu médian américain atteint son plus haut niveau depuis 50 ans

La vérité est que les résultats économiques sous Trump sont impressionnants et étonnent même ses adversaires. En septembre 2020, deux mois seulement avant les élections, le Census Bureau a publié des chiffres jamais vus mais, malheureusement, occultés par la crise du Covid et la mauvaise foi des médias qui ont fait tout ce qui leur était possible pour les cacher à l’approche des élections. Début 2020, juste avant la Covid, le revenu médian des ménages américains avait atteint 68 700 dollars (cf. graphique), en hausse de 6,8 % par rapport à l’année 2018. Après inflation, ces revenus ont atteint leur plus haut niveau depuis 1967. Cette augmentation du revenu médian est presque 50 % plus élevée que celle de la présidence d’Obama et elle a profité surtout aux minorités. Grâce à la politique économique de Trump, plus de 4 millions de personnes sont sorties de la pauvreté qui a chuté à son niveau de 1959, principalement pour les Noirs dont le taux de pauvreté n’a jamais été aussi bas.

Un discours antisocialiste et anti-progressiste

La crise de la pandémie a aussi occulté les records de la Bourse et les résultats sans précédent de Trump en politique internationale (grâce aussi à un excellent Mike Pompeo), en particulier au Moyen Orient où, malgré ou grâce au déménagement de l’ambassade américaine à Jérusalem ainsi qu’à sa volonté, les progrès vers la paix ont été remarquables avec les accords conclus entre Israël et plusieurs pays arabes. Chose inimaginable ces 50 dernières années. Il a aussi eu raison de se retirer des Accords de Paris et du Traité avec l’Iran. Il a nommé trois juges (certaines victimes d’attaques ignobles de la part des Démocrates et des médias) à la Cour suprême et 54 juges d’appel. Trump a prononcé d’importants discours contre le socialisme et le progressisme. Il a eu le courage de s’opposer à la Chine et de soutenir les défenseurs de la liberté de Hong Kong.

 …

2021/01/16

"C'est nous les vrais républicains, les républicains restés fidèles à Lincoln qui disait qu'il fallait refuser tout compromis avec les esclavagistes du sud!"


Les contestations autour des résultats de la présidentielle, et surtout l'envahissement du Capitole le 6 janvier dernier à Washington, a exhibé les fractures idéologiques béantes au sein du Parti républicain. Les élus et un appareil militant toujours plus intransigeant incarnent deux droites irréconciliables... auxquelles les urnes interdisent de divorcer.

"Ça fait 40 ans qu'on entend ça. En fait, on entend ça à chaque victoire des démocrates. Il y a vraiment un grand sens du mélodrame chez eux".

Qu'on se le dise: interrogé par BFMTV.com, Erik Svane, membre des Republicans Overseas, ne croit pas à une explosion du Parti républicain entre pro et anti-Trump.

C'est ainsi que commence l'article de Robin Verner pour BFMTV.com, Entre Trump et les républicains, mariage invivable mais divorce impossible