Or, s’il faut en croire… (Abel Mestre et Caroline Monnot dans) Le Monde (!) (ainsi que la contre-enquête de Abel Mestre, Caroline Monnot, Pierre Jaxel-Truer, et Sophie Landrin), on devrait se demander qui est plus proche des thèses du FN, la gauche (cf les droits-de-l'hommistes professionnels de tout pays, quel qu'il soit) ou la droite (cf la droite américaine ou le Parti Républicain) ?
Demandez-vous donc qui, dans la citation qui suit, serait plutôt apte à être d’accord avec Marine Le Pen ?
Serait-ce plutôt un conservateur, un Républicain, un Tea Partier, ou tout autre personne qui demande une réduction de l’état ?
Ou serait-ce plutôt l’un de ceux — tant aux États-Unis qu'à l'étranger — qui fustigent Bush, les Républicains, les Tea Partiers, les banquiers, et les capitalistes ?
"Quand il faut réguler, protéger, innover, c'est vers l'Etat que l'on se tourne naturellement, parce que c'est l'Etat qui a la taille suffisante pour agir, la légitimité démocratique indispensable, et qu'il est inscrit dans notre ADN national", a-t-elle insisté, évoquant "le besoin d'Etat fort" face à "l'argent roi", prônant des nationalisations, y compris de banques.
Mise à jour : Marine Le Pen persiste et signe, en critiquant la privitisation et le libre-échange généralisé [ainsi qu']une politique ultralibérale, avec son cortège de délocalisations, de chômage et de régression sociale…