tout cela ne remet rien en cause, loin s'en faut, de la science climatique. Celle-ci repose sur les travaux de milliers de chercheursOui, sauf que quand on apprend que les chercheurs (sic) ont manipulé, les données ont été faussées, les journaux récalcitrants ont été écartés, la carrière (et/ou la réputation) des sceptiques a été ruinée, alors les prémisses même du "problème" (si tel il est) sont faussées, et on se rend compte que le jeu est truqué parce qu'on entre dans un cercle vicieux où "tous les scientifiques sont d'accord" précisément parce que ceux qui ne le sont pas ont été écartés (et diabolisés) et précisément parce que les journaux scientifiques ont eu peur de publier des points de vues divergeants (et dérangeants). Un lecteur du Monde écrit :
Foucart, faites votre boulot. D'abord il n'y avait rien, ensuite il y a un peu mais de tout façon c'est de la théorie du complot. Mann est sous le coup d'une enquête de son université. Quand une majorité de scientifiques étouffent le débat pour dire qu'il est fini, ils ne respectent tout simplement plus l'éthique de la critique scientifique. Et les températures qui ne montent pas ? Vous ne faites pas votre boulot de journaliste objectif en restant accroché à vos croyances. Vous désinformez.…"tout cela ne remet rien en cause, loin s'en faut, de la science climatique" — oui, mis à part le fait que Le Monde est obligé d'annoncer que le directeur du centre de recherche démissionne, fût-ce temporairement.
Clive Crook: The stink of intellectual corruption is overpowering.
Wall Street Journal: one is left to wonder why they felt the need to rig the game in the first place, if their science is as robust as they claim