2014/01/23

Vite oubliés : Ceinture de sécurité, ABS, airbag, resistance au crash test, ESP, etc…

Les radars, les campagnes de pub ?
demande Diane Heurtaut sur TF1.
Certes, les études l'ont montré, l'installation des 4097 radars automatiques sur les routes de France (métropole et Outre-mer) depuis quelques années a contribué à la lutte contre l'insécurité routière. Certes, les autorités ont multiplié les campagnes Tv choc. Prévention donc. Mais ce n'est pas tout. Si en 2013 encore le nombre de tués sur les routes a reculé (une baisse record de 11%), les voitures y sont elles aussi pour beaucoup. Ceinture de sécurité, ABS, airbag, resistance au crash test ou encore ESP (correcteur électronique de trajectoire)  : le sujet vidéo ci-dessus revient sur ces outils technologiques qui ont sauvé des vies.

Au total, 3250 personnes ont perdu la vie en 2013, autant qu'à la date des premières statistiques, en 1948. Un plus bas historique donc. Un "bilan encourageant" mais pas "suffisant", a dit le ministre qui vise moins de 2000 morts d'ici à 2020. 

A noter qu'alcool (20%) et vitesse (25%) sont les deux principales causes d'accident mortel suivis des refus de priorité (14%), la part de la conduite sous stupéfiants étant de 4%. Manuel Valls a annoncé la tenue, courant 2014, d'un Comité interministériel de la sécurité routière (CISR) sous l'autorité du Premier ministre, qui devra également examiner les éthylotests dans les voitures. Le ministre a en outre promis de poursuivre et amplifier les campagnes de communication ainsi que la modernisation des radars.

2014/01/22

Les policiers ne risqueraient-ils pas à être plus efficaces aux alentours des joailleries plutôt qu'à mettre des contraventions ?


Faisant echo au(x) joaillier(s) de Nice, Alain Nemarq, le PDG de Mauboussin,
s'avoue préoccupé par « le climat global d'insécurité en France » et souhaite pour sa part « un renforcement du nombre de policiers » sur la place Vendôme
écrit Nicole Vulser dans son article du Monde sur la récente multiplication des braquages aux abords de la place Vendôme à Paris, que ce soit armés de haches et de masses ou avec une voiture-bélier.
« Ils seraient plus efficaces là plutôt qu'à mettre des contraventions », s'agace-t-il.
En effet,
« Le niveau de violence a décuplé chez les malfaiteurs », témoigne … Jacques Morel, référent sécurité de l'Union française de la bijouterie, de la joaillerie, de l'orfèvrerie et du négoce des pierres et perles (UFBJOP).

2014/01/21

La parité – élément fort du bréviaire politiquement correct – est totalement contraire au principe de l'égalité républicaine entre tous les citoyens

L'éditorial " Egalité hommes-femmes, encore un – gros – effort ! " (Le Monde du 10 janvier) évoque l'égalité hommes-femmes, objectif républicain et légitime s'il en est
écrit Alain Guiseris, cadre retraité, un ancien directeur régional délégué de la région de Chambéry qui s'est aussi exprimé sur la pénalisation des clients de prostituées.
Mais, au nom de ce principe d'égalité, voilà que Le Monde réclame la parité pour toutes les nominations à de hautes fonctions.

Pourtant, la parité – élément fort du bréviaire politiquement correct de l'heure – est totalement contraire au principe de l'égalité républicaine entre tous les citoyens, sans distinction d'âge, de classe, de couleur de peau, de religion ou de sexe.

Défendrez-vous bientôt pour l'admission à Polytechnique un quota de 50 % de filles, quitte à ce que les bénéficiaires de cette disposition soient reçues avec des notes inférieures à celles de garçons recalés ? Déjà, hélas, les ministres de la République ne sont plus nommés sur l'unique critère de leurs capacités à s'acquitter de leurs éminentes missions ; c'est l'absurde règle de parité qui commande à leurs désignations. Alors halte là, la parité, retrouvons la raison – et avec elle, l'égalité républicaine !

Alain Guiseris
Chambéry