Alors que Donald Trump et son épouse ont rejoint les rangs des infectés du Covid-19, une étude approfondie dudit Coronavirus — et des diverses réactions des gouvernements du monde entier — ne peut aboutir qu'aux sept points majeurs suivants, que je considère comme concluants et définitifs.
1) La question primordiale en ce qui concerne le Covid-19, c'est :
A) si nous faisons face à l'une des redoutables pandémies historiques, telles que la Mort Noire du Moyen Âge, la grippe espagnole de 1918, ou la peste qui ravagea Athènes en 430 av. J-Chr. ; ou
B) si nous avons affaire à l'une des épidémies régulières, telles celles de 2009, de 2002, de 1968, de 1957, et de 1889 — qui, étant plus communes, serait l'explication la plus logique (et
qui semblent par ailleurs provenir pour la plupart, sinon toutes, de la
Chine) — où aucune intervention gouvernementale n'a été prise et qui se
sont terminées dû au fait que les populations diverses ont acquis
l'immunité, ce qui est précisément grâce au fait que… aucune intervention
gouvernementale n'a été prise (dans ce cas, s'abstenir d'intervenir
équivaut presque à une vaccination, ce qui suggère par ailleurs que
porter des masques n'est rien sinon contre-productif).
C'est ici qu'intervient une partie de la population, surtout les politiciens, les bureaucrates et les autres élites, qui affirment le besoin d'agir, la nécessité de se restreindre, l'obligation de porter des masques.
2) Le seul et unique problème avec cette attitude, c'est qu'il n'y a rien qui porte à penser que le virus de Wuhan est pire que, voire autre que, l'une des épidémies normales. Mis à part le fait qu'il s'avère que les statistiques que nous recevions au début de l'année ("457 espagnols morts au cours des dernières 24 heures", "le seuil de mortalité en Italie a maintenant atteint 34.000 âmes", etc) s'appliquaient surtout aux personnes âgés, faibles et malades dans les maisons de retraite (voir le point 4), ces bulletins dramatiques ont complètement disparu — non pas depuis les quatre ou cinq derniers jours, non pas depuis les quatre ou cinq dernières semaines, mais depuis les quatre ou cinq derniers mois…
3) Dans cette perspective, vous souvenez-vous de l'histoire de Sherlock Holmes conernant le chien qui n'a pas aboyé au cours de la nuit ? Les Fake News, ce n'est d'habitude pas les mensonges outrancières, ce sont les férus de mélodrame professionnels dans les médias qui s'abstiennent de faire des reportages sur certains types de nouvelles (ou qui les minimisent le plus possible) — notamment les infos qui sont… positives.
Cher lecteur, réfléchis : Durant ces derniers neuf mois, y a-t'il eu un seul pays, une seule ville, où l'on a pu voir des morts dans les rues, et s'horrifier devant des douzaines, des centaines, de corps qui pourrissaient ? A-t'on vu un seul train, une seule rame de métro où il était fréquent de voir un malade du virus râler comme un démon, tituber, et finir par s'écrouler avant d'entrer en convulsions et de vomir ses entrailles (noires) ? Non, n'est-ce pas ?
4) En d'autres mots, la majorité des infectés étaient, et sont, déjà dans les hospices, et si d'aucuns commencent à se sentir mal, ceux-là peuvent choisir d'eux-mêmes de s'isoler (d'entrer en auto-quarantaine, si on veut) ou, si nécessaire, se diriger vers un hôpital (voir le point 6). Accessoirement, ceci est basé sur un concept révolutionnaire : que l'adulte moyen est de fait un être responsable sans grand besoin pour des bureaucrates, des politiciens et/ou un monarque, et sur lequel on peut (si, si) compter pour se comporter avec un minimum de maturité.
5) Maintenant, le monde fait face à une séconde vague du virus chinois (nous allons y revenir), mais les seuls bulletins d'infos que nous recevons, c'est de l'ordre de "1000 nouvelles hospitalisations en France depuis une semaine" ou "558 danois de plus ont attrapé le coronavirus ; deux nouveaux décès." Et pourtant, ces informations continuent à nous faire peur (ou, du moins, nos politiciens) autant qu'avec les bulletins dramatiques de morts au tout début de la pandémie (!) ; et elles continuent de créer autant d'hystérie de masse.
Le mot quarantaine signifie une période d'internement de 40 jours (et pas un jour de plus). Neuf mois après le début de la pandémie, il convient de savoir que jamais dans la langue française n'ont existé des mots ou des expressions tels que centquarantaine (140 jours), ou deuxcentsoixantaine (260 jours)… Et, de toutes les façons, le confinement s'adresse traditionellement aux seuls gens infectés, non pas aux gens en bonne santé…
6) Aujourd'hui, en effet (et cela, rappelez-vous, depuis quatre à cinq mois), pour la vaste majorité des infectés, souffrir du virus ne signifie rien de plus que deux ou trois semaines maximum en quarantaine chez soi (de fait, trois semaines d'internement équivaut à la moitié des 40 jours préscrits, donc on peut conclure que, dans leur sagesse, nos ancêtres ont péché par excès de prudence), comme l'ont fait des gens aussi variés que Tom Hanks, Madonna, Silvio Berlusconi, le Prince Charles, Albert de Monaco, et Greta Thunberg (en ce qui concerne Boris Johnson, une visite à l'hôpital), après quoi les gens retrouvent leur bonne santé. Cela suggère, encore une fois, que le citoyen moyen (en tout cas, que l'Occidental moyen) est quelqu'un qui se comporte de façon responsable et qui fait exactement ce qu'il ferait s'il était infecté durant l'une des précédentes épidémies régulières, s'il souffrait d'une grippe ordinaire, ou s'il attrapait une maladie qu'elle quelle soit — y compris un rhume des plus banaux.
De fait, si le taux de survie du virus est aujourd'hui près de 100%, on est en droit de se demander : à quoi bon tout ce remue-ménage pour chercher un vaccin ?
7) En d'autres termes, il est on ne peut plus clair que A) le virus chinois n'est pas, et n'a jamais été, différent de manière significative de l'une des autres épidémies et que B) nous sommes au milieu soit d'une arnaque globale (nous allons y revenir) soit d'une manifestation de hystérie collective, soit d'une combinaison des deux.
Dans cette perspective, invitons les politiciens et les bureaucrates de tous les pays occidentaux de cesser immédiatement d'exiger de leurs citoyens respectifs de s'habiller comme des clowns ; et, surtout, invitons ces politiciens et ces bureaucrates à mettre un terme immédiat à la déstruction de leurs économies réspectives.
Pour conclure : Offrez aux personnes âgées et à celles dont le système immunitaire est affaibli, la possibilité d'une mise en quarantaine (chez soi ou dans un centre hospitalier) et, en ce qui concerne le reste de la population, brisez leurs chaînes !
Une note finale sur la nouvelle vague de Covid-19 — qui s'est produite, par le plus étrange des hasards et par la plus bizarre des coïncidences, suite à la décision en mai des démocrates américains et du reste des prétendus "experts de la santé" du monde entier, de faire brusquement un virage à 180° en ce qui concerne les masques, la distanciation sociale et le confinement (le tout, rappelez-vous, pour la sécurité des citoyens), et suite à leur décision que les foules gigantesques s'engageant dans des manifestations de masse — en plus des émeutes, des incendies criminelles, des pillages et des renversements de statues — étaient soudainement permises, voire encouragées, si seulement ils s'intégraient dans la lutte héroïque contre le racisme, réel ou présumé. (Oui, vous avez raison, ce sont ces mêmes politiciens qui avaient adopté des règles pour arrêter un pagayeur solitaire au large de la côte de Malibu ou qui avaient ordonné aux hélicoptères de la gendarmerie de survoler les Vosges afin d'infliger des amendes aux randonneurs isolés…)
Il y a une théorie selon laquelle la réponse hystérique au virus de Wuhan (ainsi que "les manifestations à 180°") n'est en réalité autre chose qu'un plan clandestin plus ou moins réfléchi et élaboré des démocrates américains en compagnie du reste des politiciens du monde — dont peu, voire aucun, font eux-mêmes des sacrifices (y a-t'il un seul qui ne continue pas à percevoir son salaire?) — pour affaiblir les économies des États-Unis et de tout l'Occident afin de vaincre Donald Trump en novembre.
Peu importe, cher lecteur, ce que vous ressentez, à juste titre ou non, à propos de Donald Trump ; je vous pose la question suivante : le chef d'un seul pays, fût-il une superpuissance ou non, est-il un tel danger pour l'Amérique et pour le reste du monde que les gens ordinaires à travers la planète, nos concitoyens, nos voisins et nos familles doivent accepter les récessions, les faillites et les nombreux autres types de sacrifice — en plus des émeutes et des pillages — afin de faire tomber ledit chef ?
Dans ce cas, j'ai ce que je crois être une suggestion vraiment extraordinaire à faire (et je pense que cela s'applique si vous êtes citoyen américain, citoyen français ou citoyen de tout autre pays):
En tant que citoyen à qui l'on n'a jamais demandé (avant une élection ou à tout autre moment) si j'acceptais les politiques furtives de nos politiciens (aux États-Unis, ils ne sont pas appelés "nos dirigeants" mais "nos serviteurs") détruisant, directement ou indirectement, l'économie, nos entreprises et nos statues — et s'engageant dans la création d'un appauvrissement de masse au sein de notre peuple, de nos voisins et de nos familles — je dirais que les élites en Amérique (cf. les dirigeants du parti démocrate), en France et ailleurs en Europe pourraient ne pas être tout aussi horribles que le serait prétendument Donald Trump, ils pourraient en fait être bien pires.