2017/01/28

Sur les chaînes françaises, on préfère les crétins qui ne connaissent des Etats-Unis que les lieux où les gauchistes se réunissent pour trépigner en vase clos


Quand vous regardez la télévision française, vous devez savoir qu’on vous ment presque sans cesse et qu’on tente de vous lessiver le cerveau
accuse Guy Millière qui va reprendre un terme inventé par un bloggueur de No Pasarán (pour désigner Libération) il y a une douzaine d'années.
J’ai quitté la France, entre autres, parce que je ne supportais plus la Propagandastaffel à la française.

Je n’y reviendrais pas s’il ne venait de se passer ce qui s’est passé sur BFM Télévision, une chaîne sur laquelle j’ai été invité une seule et unique fois, pour commenter l’attentat de Charleston. Je n’ai pas été éjecté du plateau, mais mon intervention a été immédiatement effacée du site de la chaîne, à la façon dont au temps d’Hitler et de Staline on effaçait des photographies ceux qu’on venait d’éliminer d’une balle dans la nuque.

Une femme que je connais bien, une amie, une personne qui sait de quoi elle parle, a été invitée à commenter les cérémonies inaugurales de la présidence Trump. Dans un immense effort de pluralisme qui a du leur déchirer le cœur, les programmateurs de la chaîne ont invité cette femme. Ils savaient qu’elle connaissait les Etats-Unis réels, ce qui représentait pour eux un risque : sur les chaînes françaises, on préfère les crétins qui ne connaissent des Etats-Unis que les lieux où les gauchistes se réunissent pour trépigner en vase clos.
Ils savaient qu’elle était conservatrice à l’américaine : à l’idée d’inviter une conservatrice, ils ont dû être au bord de la crise de nerfs. En général, les conservateurs à l’américaine sont maintenus loin de tout micro. Ils savaient qu’elle soutenait Trump : dans un contexte où, sur tous les plateaux de télévision, on n’invite que des gens qui détestent Trump, à la rigueur des gens qui disent un peu de bien de Trump tout en lui trouvant de gros défauts, ils ont sans doute songé que c’était l’audace absolue.

Ils n’ont pas songé que cette femme pouvait dire la vérité. Et, comble de l’horreur, elle a dit la vérité !
Qu’a-t-elle dit ? Trois phrases sur Barack Obama. Juste trois phrases :
«Je remets en cause son patriotisme et sa dévotion à l’église qu’il fréquentait. Je pense qu’il était en désaccord avec lui-même sur beaucoup de choses. Je pense qu’il était plus musulman dans son cœur que chrétien. Il n’a pas voulu prononcer le terme d’islamisme radical, ça lui écorchait les lèvres. Je pense que dans son cœur, il est musulman, mais on en a terminé avec lui, Dieu merci».
J’aurais pu prononcer ces phrases. Obama n’a cessé de nuire à son pays et au monde : non seulement on peut remettre en cause son patriotisme, mais on doit dire qu’il déteste les Etats-Unis. Obama n’a jamais été chrétien : il a été musulman, puis est censé être devenu membre d’une église antisémite adepte de la théologie noire de la libération, la Trinity United Church of Christ. Tout montre qu’il est resté plus musulman que chrétien. Il n’a jamais utilisé les mots islamisme radical. Le monde en a terminé avec lui. Juifs et Chrétiens ont parfaitement le droit de remercier Dieu.

Sur des chaînes de télévision américaines, même les plus à gauche, CNN et MSNBC, ces phrases auraient pu être prononcées dans le cadre d’une discussion.

En France, celle qui les a prononcées s’est vue couper la parole et le micro, puis a été immédiatement exclue du plateau.

Un site de crétins gauchistes désinformateurs pour lecteurs crétins gauchistes sans neurones a vu l’émission et a fait un article pour dénoncer BFM. Le directeur de la chaîne (je ne citerai pas son nom, il ne le mérite pas) a répondu, je cite : «ce sont des propos inacceptables sur notre antenne. On les condamne fermement».
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Au sein de la Propagandastaffel à la française, BFM est la chaîne de télévision la plus «ouverte», ce qui en dit long sur les autres.

La femme qui a dit la vérité s’appelle Evelyne Joslain. Je lui apporte ici mon entier soutien, et je lui transmets le sentiment renouvelé de ma vive estime.

Elle est l’auteur de l’un des trois livres lisibles sur Trump : le mien, Après Obama, Trump ?* (une suite est pour bientôt), celui d’André Bercoff*, et le sien, Trump : Pour le meilleur et pour le pire*.

La population française n’est pas informée du tout : elle a le choix entre un lavage de cerveau constant et la nécessité de chercher ses informations ailleurs, comme les Allemands qui en avaient assez de Goebbels devaient essayer de capter Radio Londres, comme les Russes au temps de l’Union soviétique devaient tenter d’écouter Radio Free Europe. C’est répugnant.

La quasi-totalité des journalistes français sont des imposteurs.

C’est une honte et un scandale.
© Guy Millière pour Dreuz.info.
Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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2017/01/27

"We Couldn't Believe Our Ears" Say Shocked MSM Reporters: Conservative Writer Thrown Off French TV for Opining Obama Might Be Muslim

A pro-Republican author in France was expelled from a television show during the Donald Trump inauguration after "shock" at her "rather hallucinatory rant."
Mind you, Evelyne Joslain did not say on BFMTV that Barack Obama was a Muslim, but that he might be Muslim, in his heart, specifically, that "I believe Obama is more Muslim in his heart than Christian." This led to shock throughout the French media, with Marianne calling it "surreal" and Télérama declaring that "we couldn't believe our ears." Indeed, the (very) few people who leaped to her defense were said, all of them, to belong to… (wait for it) le Fascosphère.

The question (regarding Evelyne Joslain's alleged "misplaced words") that the members of the mainstream media (uncharitably called by some, "presstitutes") of any country, including America itself, never ask and never answer, is the following: what is wrong with being Muslim anyway — given that we are constantly reminded how wonderful, or at least how normal, the religion of peace is — while how insulting is it not to think the leader of a Western nation is Christian — given the fact that we are constantly reminded how obtuse, retrograde, and superstitious those oafish believers are.

And why shouldn't a person be allowed to believe that a certain leader, or a certain type of a country's population is hateful towards the country (or the majority population thereof) that he leads or that they live in? We hear about hate and hate thought and hate crimes all the time? Are only members of the right supposed to belong to such a group? Well, that's exactly the point, ain't it?
The same outrage came up in America itself as the presidential campaign was slowly getting underway when Donald Trump, asked if Obama is a Muslim, "did nothing at the time to disabuse the man of this notion and the candidate has since taken considerable heat for his nonresponse from just about every quarter, including that paragon of justice and honesty Hillary Clinton" (Roger Simon).

Time to head over to PJ Media's Instapundit where Glenn Reynolds and Ed Driscoll have some choice comments, while Jim Treacher, Andrew Klavan, and Brian Gates take the media's double standards a step further in the obligatory snarky section.


Roger Simon went on to point out the following:
Is Obama a Muslim?  The answer is no.  But what is he then?  Is Obama a Christian, as Jeb Bush asserted in an attempt to make Trump look bad after Thursday's dustup? Not a chance.  Obama is about as pure a post-modern agnostic as you can find.  He's about as Christian as your average gender studies professor at Swarthmore. Religion is for the [44th] president a convenience, an instrument of power.
What Evelyne Joslain didn't, and doesn't, understand is that nobody, but nobody, is allowed to criticize Barack Obama, or even put his words into doubt, since he is not a professional politician (or at least not a professional politician in the normal sense) but something closer to a sainted figure, near-messiah, who is trying to transform the nightmarish hellhole that is America into a European paradise, a place where Americans will finally be so lucky to have as high taxes as Europeans do, as much red tape as Europeans enjoy, and as many bureaucrats as Europeans have.

Indeed, the taboo on saying anything negative about Obama seems coupled with the right, indeed almost the duty, to say nothing positive about people like George Bush, Sarah Palin, and Donald Trump…

That's the real story: nobody is allowed to question the immortal pronouncements of the left's paragon of virtue (whether concerning his private life or public policy), and nobody, more generally, is allowed to question any part of the left's PC narrative.

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• In the Civil War Between Right and Left, Only the Latter Fights Ferociously

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