Robert Solé, s'il est le plus visible, ne sera pas le seul à partir. Son départ s'explique en effet par l'ouverture de la clause dite « de cession » prévue par une loi votée (à l'unanimité) en 1935, afin de protéger la liberté de la presse. Elle permet à tout journaliste de quitter son entreprise après un changement significatif du capital, en bénéficiant des conditions d'un licenciement.Au Monde, c'est, bien sûr, la première fois qu'elle s'exerce. Une douzaine de journalistes — dont Robert Solé — ont déjà demandé à en bénéficier pour des motifs divers et strictement personnels — non en raison de divergences avec la rédaction. D'ici à la fin du mois de juin, d'autres suivront... y compris moi-même, dès le 16 mars.
Révélations sur le politiquement correct, les partis pris et le refus de mettre en doute les grandiloquences auto-congratulatoires des autorités (avec preuves à l'appui) qui sévissent dans le journal de référence, Le Monde, et dans d'autres médias français…….Bilingual Documenting and Exposing of the Biased Character of French Media, Including its Newspaper of Reference, Le Monde
2011/03/21
Adieux…
Suite à Robert Solé, c'est au tour de son successeur comme médiateur/médiatrice au journal Le Monde, Véronique Maurus, de tirer sa révérence…
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