À la DGSE aujourd’hui, il doit y avoir 4 500 à 5 000 personnes, dont 1 000 qui font de l’administratif
raconte Alain Chouet, ancien haut responsable de l’espionnage français qui a effectué toute sa carrière au sein de la DGSE, à
Michel Delean suite aux attentats du 13 novembre (merci à Fab Rouv).
Le problème n’est pas tant les effectifs que la qualité et l’utilisation
des effectifs, comme à la DGSI. J’ajoute qu’à la gendarmerie, il y a 80
000 personnes qui, à une époque, quadrillaient le territoire et
parlaient à tout le monde. On les a reconvertis en percepteurs d’impôts
et pères Fouettard sur le bord des routes, au lieu de créer un corps
spécifique, une police des routes. Du coup, le maillage territorial du
renseignement et la défense opérationnelle du territoire ont été
affaiblis.
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