As
Airbus gets ready to slash
1,000 jobs among its European workforce,
Le Monde's
Guy Dutheil informs its readers that, because airlines are dissatisfied with the A380, built to compete with Boeing's 747 jumbo jet, its flagship is selling badly.
Clap de fin programmée ou atterrissage
en douceur pour l’A380 ? Le plus gros avion commercial du monde,
chouchou des passagers, connaît des heures difficiles.
A la surprise générale, en juillet, en plein Salon aéronautique de
Farnborough (Royaume-Uni),
au moment où les avionneurs mesurent leur
puissance à la longueur de leurs carnets de commandes, Fabrice Brégier,
le PDG d’Airbus, annonçait un coup de frein dans la production des A380.
L’entreprise veut la réduire de moitié. Dès 2018, il ne sortira plus
des chaînes de montage qu’un seul exemplaire du superjumbo contre deux
aujourd’hui. La raison en est simple : le navire amiral d’Airbus se vend
peu ou mal.
A sa création, les cieux semblaient pourtant cléments pour le futur
quadrimoteur. C’est le 18 décembre 2000 qu’Airbus frappe les trois coups
de l’A380. Singapore Airlines devient alors la compagnie de lancement
du nouvel avion. Selon ses vœux, le projet « 3XX », nom de code de
l’appareil, se transforme officiellement en A380. Singapore Airlines a
choisi le 8, un chiffre porte-bonheur en Asie. La mise en chantier du
futur gros-porteur fait grand bruit.
In a twin article,
Guy Dutheil writes:
C’est que, depuis des années déjà, [les compagnies aériennes] ne sont pas
pleinement satisfaites par cet avion, qui, s’il est l’un des préférés
des passagers, se révèle coûteux (son prix catalogue est de 428 millions
de dollars).
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