Révélations sur le politiquement correct, les partis pris et le refus de mettre en doute les grandiloquences auto-congratulatoires des autorités (avec preuves à l'appui) qui sévissent dans le journal de référence, Le Monde, et dans d'autres médias français…….Bilingual Documenting and Exposing of the Biased Character of French Media, Including its Newspaper of Reference, Le Monde
2022/01/12
Le 6 janvier 2021 : ce que les médias américains ne vous diront jamais
Un an après l’attaque
du Capitole, le parti Démocrate fait feu de tout bois pour accabler
Trump et le camp républicain. Pourtant, les dégâts générés par les
antifas ou le mouvement Black Lives Matter – soutenu par de nombreux
démocrates – sont bien plus importants.
Il y a un an, le grand rassemblement de Donald Trump du 6 janvier 2021
se terminait par l’attaque et la profanation du Capitole, au cœur de la
capitale américaine. Nous avons tous vu dans les médias les images
effrayantes et scandaleuses de cet événement. Ce jour a choqué tout le
pays, mais je peux dire en tant que Républicain que le choc était
particulièrement brutal pour les Républicains. C’est la dernière chose
que les partisans de Trump voulaient voir. Les auteurs de ces violences
devraient en porter la pleine responsabilité et être punis avec toute la
force de la loi. Je n’ai pas entendu un seul politicien républicain, un
seul commentateur politique républicain ou un seul Républicain patriote
soutenir la violation de la capitale. Ces actes de violence sont
contraires aux principes de protestation pacifique adoptés par les
Républicains et le mouvement MAGA. Par conséquent, les Républicains sont
amenés à remettre en question le récit médiatique des événements et de
leurs conséquences pour la politique aux États-Unis.
La gauche du Parti démocrate et les médias qui la soutiennent ne
cessent de qualifier l’intrusion dans le Capitole d’« insurrection », de
tentative de « coup d’État » par de violents terroristes domestiques,
autrement dit des suprémacistes blancs supporteurs de Trump. Ils parlent
de la plus grande attaque contre notre démocratie depuis la guerre de
Sécession, pire que Pearl Harbor ou que le 11 septembre (une insulte aux
3000 personnes qui ont perdu la vie dans les deux tours). Et ils
accusent Donald Trump lui-même de l’avoir incitée et soutenue.
Il ne s’agit
pas de minimiser l’inacceptable effraction violente du Capitole mais de
souligner l’hypocrisie flagrante de la gauche, ses mensonges odieux et
ses exagérations à propos du 6 janvier
Mais si cette rhétorique hystérique et hyperbolique était vraie,
pourquoi la gauche a-t-elle jugé nécessaire de mentir autant sur ce qui
s’est passé ou ne s’est pas passé ? Oui, Trump a tenu un meeting à
proximité du Capitole le 6 janvier avec des milliers de partisans, alors
que la session conjointe du Congrès était prête à confirmer les
résultats de l’élection. L’objectif de ce rassemblement était de
convaincre les Républicains du Congrès de se joindre aux Républicains
qui avaient prévu de contester la certification des résultats dans
certains États qui étaient potentiellement basés sur des votes
frauduleux. Cela permettrait de forcer au moins une discussion et un
débat au sein du Congrès, ce qui est légal selon la Constitution.
Ce que les médias ne vous diront pas, c’est que de nombreux Démocrates
ont également contesté les résultats des élections présidentielles
passées, y compris celle de 2016 où Trump a battu Hillary Clinton.
L’opposition des Démocrates étaient basée sur les accusations – que l’on
sait maintenant fausses – selon lesquelles Trump aurait volé
l’élection grâce à une prétendue connivence avec la Russie. Un mensonge
que les Démocrates ont maintenu pendant toute la présidence de Trump et
jusqu’à aujourd’hui. L’objectif de Trump était donc simplement de
montrer aux Républicains du Congrès combien il était soutenu par le
peuple américain. Toute violence visant à perturber le processus du 6
janvier ne servait pas du tout ses intérêts. Il est prouvé que Trump a
appelé ses partisans à marcher « pacifiquement et patriotiquement » vers
le Capitole. Pourtant, il y a eu des violences qui ont bien perturbé le
processus. Après que Trump a demandé à tous les émeutiers de quitter le
Capitole et que les sénateurs et les membres du Congrès sont revenus,
ces derniers ont immédiatement demandé une certification des votes de
tous les États, sans discussion. Biden a été confirmé.
Comme la plupart des Républicains, je suis de l’avis que Trump n’est pas
intervenu assez rapidement et avec assez de force, pour demander aux
émeutiers de cesser. Mais ses détracteurs vont jusqu’à répandre un
mensonge à ce sujet. Liz Cheney, représentante républicaine pour le
Wyoming, opposée à Trump, est la vice-présidente de la commission
d’enquête sur les événements du 6 janvier. La fille de Dick Cheney prétend que Trump est
resté sans faire de déclaration pendant 187 minutes (plus de trois
heures), tandis que les événements se déroulaient au Capitole. Les
médias ne vous diront pas que c’est un mensonge et que les faits le
prouvent. La chronologie des événements montre clairement que la
première déclaration de Trump enjoignant à ses supporteurs de « rester
pacifique et soutenir notre police », a été faite sur Twitter 23 minutes
après l’effraction initiale. Il a envoyé un deuxième tweet 35 minutes
plus tard. Après une heure, il a envoyé un message vidéo demandant à
tout le monde de partir. Cela fait deux déclarations et un message vidéo
en deux heures.
Pas un renversement de gouvernement, plutôt une protestation désorganisée
Les médias vous ont dit que des milliers de Républicains armés et
organisés ont envahi le Capitole pour tuer des politiciens et renverser
le gouvernement. Les médias ne vous diront pas qu’il s’agissait en fait
de centaines de patriotes frustrés qui sont entrés bêtement dans le
Capitole, en suivant un groupe d’instigateurs violents. Aucun des
manifestants n’a été trouvé avec une arme à feu sur sa personne. De
nombreux témoins disent même que certains policiers auraient ouvert les
portes de l’intérieur pour laisser entrer les manifestants, comme on
peut le voir dans de nombreuses vidéos où la police escortait en fait
les manifestants dans les couloirs.
Les médias vous ont ensuite dit que des émeutiers républicains avaient
provoqué la mort de cinq personnes. Ils vous ont dit que l’une de ces
cinq personnes était un agent de la police du Capitole qui a été attaqué
par la foule et battu à l’aide d’un extincteur. La vérité est sortie
bien plus tard : il n’y a jamais eu d’attaque avec un extincteur et le
policier est décédé le lendemain de causes naturelles, ce qui a été
confirmé par sa famille. Trois des quatre autres décès concernaient des
partisans de Trump qui sont également morts de causes naturelles, comme
des crises cardiaques. La cinquième et dernière personne était également
une partisane de Trump, la seule victime abattue ce jour-là, et par un
officier de police du Capitole. Une ancienne combattante de l’Armée de
l’air, elle s’appelait Ashli Babbitt. Elle n’était pas armée et était
vêtue d’un drapeau américain. Le policier n’a jamais été reconnu
coupable d’un crime et a été libéré. Très malavisés, les supporteurs Républicains qui ont décidé de suivre
les instigateurs du crime ont pris une mauvaise décision ; ils
n’auraient pas dû se trouver à l’intérieur du Capitole, mais ils
n’essayaient pas de renverser le gouvernement et Ashli Babbitt ne
méritait pas d’être abattue de sang-froid.
Les Américains ont besoin d'une enquête et de réponses honnêtes
Au cours de l’année écoulée, de nombreuses enquêtes (principalement
menées par des Républicains), accompagnées de vidéos et de déclarations
de témoins ont maintenu que certains des principaux instigateurs (pas
tous) étaient des imposteurs anti-Trump qui se faisaient passer pour des
supporters MAGA. Les vidéos en question sont facilement accessibles sur
des sites web de droite. Apparemment, les instigateurs filmés
n’auraient jamais été arrêtés par le FBI. Je n’affirme pas qu’il
s’agissait d’imposteurs anti-Trump, mais le peuple américain mérite des
réponses aux questions suivantes : qui étaient vraiment les instigateurs
de l’effraction ; pourquoi a-t-on dit aux policiers de se retirer et de
ne pas l’empêcher ; et pourquoi la Garde Nationale n’était-elle pas en
place pour soutenir la police ? Toute personne qui soulève ces
questions est immédiatement dénoncée comme un dangereux complotiste
d’extrême droite.
725 arrestations, aucune pour insurrection, pour sédition ou pour terrorisme
Selon le site officiel du ministère de la Justice (DOJ), 725
personnes ont été arrêtées et inculpées dans le cadre de l’effraction du
Capitole. Cela a nécessité une chasse à l’homme massive dans les 50
États par le FBI, car une attaque contre un bâtiment fédéral est
considérée comme un crime fédéral. Alors que plus de 600 personnes ont
été accusées de simple intrusion, selon le site Web du DOJ,
« au
moins 225 prévenus ont également été accusés d’agression, de résistance
ou d’entrave à des officiers des forces de l’ordre, environ 10 personnes
ont été arrêtées pour avoir agressé un membre des médias ou détruit
leur équipement, et au moins 275 prévenus ont été accusés d’obstruction,
ou de tentative d’obstruction, d’une procédure officielle dans une
intention malicieuse. »
Un petit détail : pas une seule personne n’a été accusée de sédition,
d’avoir cherché à renverser le gouvernement ! À ce jour, seuls 70
prévenus ont été condamnés à des peines d’un maximum de cinq ans. Les
accusations les plus graves d’obstruction sont passibles de peines
maximales allant jusqu’à 20 ans de prison.
Conditions de détention anti-américaines qui rappellent le "goulag"
Environ
80 autres accusés sont détenus dans une prison "temporaire" à
Washington dans l'attente de leur procès, et beaucoup y sont depuis
près d'un an. Les médias ne vous diront pas de quelle façon ils sont traités.
Il est rapporté que cette prison est extrêmement mal entretenue. Des
politiciens républicains ont récemment insisté pour les voir et, après de nombreux refus, ont
finalement été admis. Ils ont qualifié les conditions des prisonniers de scandaleuses. "Ils ont été battus par les
gardiens", a
déclaré la représentante Marjorie Taylor Greene, Républicaine de Géorgie, le 7 décembre. "Ils sont traités de suprématistes blancs. On leur refuse les
services religieux, les coupes de cheveux, le rasage et la possibilité
de se couper les ongles. Ils n'ont pas le droit de passer du temps avec
leurs avocats, ils n'ont même pas le droit de voir leurs familles et de
recevoir la visite de leurs familles. On leur refuse la liberté sous
caution et ils sont détenus sans caution. Beaucoup de ces personnes
n'ont jamais été accusées d'un crime auparavant. Certains d'entre eux
sont des anciens combattants. Et leur traitement est incroyable."
Aucune comparaison avec les dégâts et les décès provoqués par les Black Lives Matter et les Antifa en 2020
Suite à l’attaque du Capitole, il y aura des centaines de procès en 2022
et certainement jusqu’en 2024. Pourtant, les trois mois d’émeutes en
2020 provoquées par Black Lives Matter et les antifa ont vu commettre
des crimes comparables et même pires, mais leurs auteurs ont souvent été
libérés sous caution grâce à des fonds auxquels des politiciens
démocrates ont contribué, y compris la vice-présidente, Kamala Harris.
Pendant trois mois, BLM et les antifa sont à l’origine de près de 570
émeutes violentes, dans 220 lieux aux États-Unis, provoquant la mort de
plus de 30 citoyens américains dont au moins un policier en retraite et
blessant plus que 2000 autres agents.
En termes de dommages matériels,
le Capitole a vu 1,5 million de dollars de dégâts, tandis que les
émeutes BLM/antifa sont responsables de dégâts valant 2 milliards de
dollars (les émeutes les plus coûteuses de l’histoire des États-Unis,
selon une étude de l’université de Princeton). Parmi ces émeutes
BLM/antifa, une attaque soutenue de quatre mois contre un bâtiment
fédéral à Portland, dans l’Oregon. Le palais de justice fédéral a été
incendié et endommagé. Comme l’attaque du Capitole, ne s’agit-il pas
d’un crime fédéral ? Lorsque le gouverneur démocrate a finalement
autorisé Trump à envoyer la Garde nationale, les émeutiers ont tenté de
mettre le feu au bâtiment alors que la Garde était encore à l’intérieur.
Les politiciens démocrates ont critiqué la Garde nationale et l’ont
comparée aux « Sturmtruppen » nazis. Jamais, pendant les trois ou
quatre mois d’émeutes contre des Américains ordinaires et un tribunal
fédéral, les Démocrates n’ont dit que notre démocratie était attaquée.
Avec les médias qui les soutiennent, ils ont répété le mensonge selon
lequel il s’agissait principalement de « protestations pacifiques ». Il
ne s’agit pas de minimiser l’inacceptable effraction violente du
Capitole mais de souligner les deux poids deux mesures et l’hypocrisie flagrante de la gauche, ses
mensonges odieux et ses exagérations à propos du 6 janvier, non
seulement afin d'accuser Trump de terrorisme domestique mais aussi tous les
partisans de Trump.
Un comité politiquement biaisé s'apprête à dénoncer les Républicains comme des "insurgés"
Nous attendons donc maintenant le rapport de la commission spéciale de
la Chambre des représentants sur « l’insurrection » du 6 janvier,
dirigée par des démocrates. Comme la plupart des Américains, je serais
heureux de voir une enquête vraiment bipartisane, transparente et
approfondie sur les événements du 6 janvier. Malheureusement, dans le
contexte actuel de polarisation politique du Congrès, ce n’est pas
possible. La commission spéciale est orientée politiquement contre Trump
et les Républicains. Son verdict est prédéterminé, son objectif étant
de condamner Trump (une fois de plus) et d’essayer de le mettre en
prison.
Les preuves sont accablantes. Lorsque la commission a été constituée en juin 2021, la
présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, devait choisir
huit Démocrates et le leader de la minorité républicaine, Kevin
McCarthy, cinq Républicains. Lorsque McCarthy a soumis ses cinq noms,
Pelosi a pris la mesure sans précédent d’en refuser deux qui étaient des
partisans déclarés de Trump. Elle les a refusés pour avoir diffusé de
prétendues « fausses informations », car bien sûr, seule Nancy Pelosi
est l’arbitre de la vérité. En fait, elle a refusé tout Républicain qui,
selon elle, ne serait pas d’accord avec les conclusions des démocrates.
McCarthy a donc retiré les cinq républicains en signe de protestation en
disant qu’il ne voulait pas faire partie d’une commission politique
bidon. Pelosi a ensuite pris une autre mesure sans précédent en
demandant à deux Républicains notoirement anti-Trump, Lynn Cheney et
Adam Kinzinger, de rejoindre la commission, afin de pouvoir la qualifier
de « bipartisane ». Cheney et Kinzinger ont tous deux voté pour la
destitution de Trump. Ils ont naturellement accepté et la fille de Dick Cheney a même été
nommé vice-présidente. Tous deux ont été mis à l’écart par le Parti
républicain dans son ensemble et surtout dans leurs États respectifs.
McCarthy a promis de mener sa propre enquête en parallèle.
Malheureusement, il reste de nombreuses questions qui n’ont pas reçu de
réponses honnêtes et transparentes. Les démocrates continueront à
qualifier tous les partisans de Trump d’« insurrectionnels » pour tenter
de détourner l’attention générale des échecs de l’administration
Biden/Harris.
Les démocrates et les
républicains anti-Trump vont donc étirer cette imposture politique en la
faisant passer pour un comité bipartisan tout au long de l'année 2022
et au-delà, dans l’espèrent que cela les aidera lors des élections de
novembre 2022.
Mais aucune propagande politique, aucune commission bidon, aucun
mensonge médiatique ne pourra jamais masquer les dysfonctionnements
d’une telle administration.
Prenons des mesures pour
ne plus jamais permettre une atteinte à la capitale, pénalisons les
vrais responsables, et commençons à nous concentrer sur la réduction de
l'inflation, la protection de nos frontières, la réduction de la
criminalité ainsi que le soutien à notre police, la fin du COVID et le retour
au leadership mondial. Voilà une résolution pour la nouvelle année !
No comments:
Post a Comment