Probablement à des terroristes du Moyen-Orient. Mais avant tout à l'antiaméricanisme ambiant. J'accuse nos alliés européens — en particulier la France — d'entretenir cet antiaméricanisme depuis bien longtemps, et de donner ainsi davantage de liberté d'action à ceux qui ont pour but la destruction des États-Unis.Paule Zapatka poursuit :
J'accuse certains Français de jalousie mesquine envers ce pays qui semble ne jamais donner assez, en termes de vies humaines ou d'aides de toutes sortes. ... J'accuse surtout les journalistes français de bâcler leur travail. De donner des États-Unis une idée complètement erronée des événements ou de jeter sur eux une lumière si crue que le reste du tableau est laissé dans l'ombre. Pas une semaine et guère un jour sans que la presse francaise, ou le journal parlé de 19 h ... ne se fasse les dents sur les États-Unis.
Tout est bon à discréditer ou à caricaturer. Et un de vos confrères n'avait guère trouvé les mots justes quand il déclarait à la télévision : "Les États-Unis ont été frappés là où ça leur fait le plus mal : dans leurs puissance économique et financière." Non, Messieurs. Ce qui fait le plus mal, c'est la perte de milliers de nos concitoyens dans une mort horrible, et c'est la restriction de la liberté de chacun qui résultera de cette attaque terroriste. L'Amérique toute-puissante est un mythe.
No comments:
Post a Comment