More demonizing of the Tea Party in France, as Le Monde's Christian Salmon mentions the dangers of the " 'no worries' right nourished with the neo-conservative milk which flirts at times with the extremism of the ultra-conservative Tea Party".
Loin d'en faire l'analyse, l'UMP a mis en scène un conflit d'ambitions, un débat entre deux styles ou deux tempéraments, occultant le profond clivage qui existe entre une droite "décomplexée", nourrie au lait néoconservateur qui flirte parfois avec l'extrémisme du mouvement ultraconservateur Tea Party, et un gaullisme social désormais hors sol.As Jeff Belmont has written, people in France are always throwing around the word "ultra" for the simple reason that the newspaper
reader must be frightened at all costs and [that America's] Republicans must be demonized at all costsAs Corentin de Salle has put it (merci à David A) — tongue-in-cheek:
Trucs & Astuces.
Aujourd'hui: l'ultralibéralisme.
Quand vous entendez l'expression "ultralibéralisme", il y a quatre hypothèses.
• Primo, celui qui prononce ce mot est "ultra-stupide" (exemple: "la politique ultralibérale de l'Union Europénne"; "la politique ultra-libérale du gouvernement Sarkozy).
• Deuxio, celui qui parle est "ultra-ignorant" et n'a aucune idée de la manière dont se structure le champ des idées et doctrines politiques.
• Tertio, celui qui parle est "ultra-intolérant". Le préfixe péjoratif "ultra" a évidemment pour but de disqualifier d'emblée une personne qui intervient dans un débat, raison pour laquelle la gauche médiatique se sert abondamment de ce terme.
Par contre, on ne parlera jamais "d'ultrasocialisme" ou "d'ultraécologisme".
• Quatro, celui qui dit cela est "ultra-conforrmiste" et, faute de disposer du goût ou des capacités pour réfléchir par lui-même, il se contente de répéter, par un réflexe moutonnier, cette expression utilisée par les trois premières catégories.
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