à Strasbourg, une politique constante en faveur du vélo a banalisé ce mode de transport, et les conflits entre piétons et cyclistes se sont multipliés.Or, il s'avère qu'en fait (découvrons-nous vers la fin de l'article),
Lorsqu'on se déplace à pied dans les rues commerçantes, on est parfois surpris par un cycliste qui slalome sur la chaussée. Sur les trottoirs des boulevards tracés au XIXe siècle, la municipalité a aménagé des pistes réservées aux vélos dont ceux-ci s'écartent parfois. Les cyclistes, soucieux d'éviter les voitures circulant à bonne allure dans la ville, ont pris l'habitude de rouler sur le trottoir, et s'y imposent parfois en usant de leur sonnette de manière intempestive.
La cohabitation entre les usagers n'a jusqu'à présent pas provoqué d'accident grave. "Souvent je marche sur la piste cyclable sans même m'en rendre compte. La plupart du temps, un sourire et des excuses suffisent", dédramatise Edith Peirotes Bérail, à la fois cycliste et piétonne. Plutôt que de conflits, M. Jund, ardent partisan de la promotion du vélo en ville, préfère parler de "crispations".Pas d'accident grave…
Dédramatiser…
"La plupart du temps, un sourire et des excuses suffisent"
C'est ce qui se passait souvent avant les radars, non ?
(Entre le chauffard et le gendarme qui l'avait arrêté…)
Ah, si les politiciens et les policiers pouvaient en prendre de la graine et en faire autant de nos jours……
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