Si je m'accroche aux paroles de Raymond Paris, c'est pour une raison bien particulière. Ce n'est pas que je veuille faire des comparaisons inconsidérées mais à priori, il me semble que le ton de voix de ces vétérans et des survivants contredit légèrement (oui, c'est un euphémisme) le ton dans le reste du quotidien de référence, qui, dans un conflit plus d'actualité, ne manque jamais de mettre le mot "libération" entre des guillemets réducteurs ; et comme si cela ne suffisait pas, il ne perd jamais une occasion pour comparer les Américains aux… fascistes ou aux Nazis (chose qu'il n'avait jamais fait par rapport aux membres du régime de Saddam Hussein)…
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